... and then the liver screamed "help!" • it's over.

Invité

Hendrick
Candice Arielle

•• Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi !

© Fox

◘ Nom :: Hendrick.
◘ Prénom :: Candice Arielle.
◘ Surnom(s) :: Callie, Didi, Candy.
◘ Âge :: 18 ans.
◘ Date de Naissance :: 20 novembre 1990
◘ Nationalité :: Anglaise
◘ Statut Social et Activité :: Célibataire. Prostituée.
◘ Orientation Sexuelle :: Bisexuelle.
◘ Groupe :: Careless.

•• Ce que je suis dans l'esprit de tout le monde n'est pas forcément ce que je suis.

▌CHAQUE HOMME A TROIS CARACTÈRES : CELUI QU'IL A, CELUI QU'IL MONTRE, ET CELUI QU'IL CROIT AVOIR :
Demandez à n'importe qui me connaissant un minimum quel est mon principal trait de caractère et il vous répondra assurément que je suis arrogante. Pour être très franche, je crois que c'est vrai. J'en suis consciente, mais je n'y vois pas tant de mal, en fait. Je me considère meilleure que les autres dans de nombreux domaines, ce n'est pas pour rien ; il a bien fallu qu'on me prouve qu'on ne pouvait pas m'égaler. Enfin, là n'est pas la question. Disons que je suis arrogante, mais que je ne suis pas non plus désagréable sur ce point. Je veux dire par là que je ne suis pas du genre à me vanter ; je pense tout bas la vérité, mais on se rend facilement compte de mon opinion réelle puisque j'aime avoir le contrôle sur tout, décider sans arrêt. La discipline ? Très peu pour moi, je préfère de loin diriger. Je suis une meneuse, pas un simple petit mouton qui suit le troupeau, et je suis toujours consciente de ce que je fais. Je ne dis pas que je fais toujours des bons choix, seulement que je ne suis pas du genre à faire quelque chose au hasard ou en me fiant à une autre personne. Je n'ai pas assez confiance en les autres pour ça, de toute façon. Et puis, je crois qu'on peut comprendre pourquoi. Reste que je ne suis pas le genre de filles qui pleure sur ses malheurs, je suis plutôt du genre à lancer des assiettes sur les murs pour me calmer les nerfs. Un peu colérique et violente, je l'admets, c'est juste qu'il ne faut pas me chercher. La gêne c'est pas mon truc, de m'empêcher de faire quelque chose me dégoûte. Je ferai tout ce que je veux faire et c'est encore mieux si je peux choquer les esprits au passage. On me prend clairement pour une prostituée sans cervelle, mais ce sont ceux qui ne voient pas au travers de mon jeu qui sont les imbéciles. Je suis une véritable actrice dans l'âme, vous risquez de l'apprendre à vos dépends.

▌CONFIEZ AU PASSE SA PROPRE DÉFENSE, A L'AVENIR SON PROPRE ACCOMPLISSEMENT :
Mon histoire est sans le moindre doute l'histoire d'une fille qui n'a rien à raconter. Ce que je veux dire par là, c'est que j'ai eu une vie si inintéressante que c'en est pathétique. Deux parents tout aussi drogués l'un que l'autre, ma mère m'abandonnant à la naissance et mon père étant donc obligé de s'occuper tout seul de moi. Un début qui aurait pu sembler tragique si j'en avais été consciente, mais comme je ne garde aucun souvenir de cette époque, c'est un événement comme un autre. Par la suite, au cours de mon enfance, mon père a fait une cure de désintox et est devenu un homme relativement respectable, ne touchant plus à quoi que ce soit d'illégal. Il se trouvait un emploi avec un salaire peu élevé mais stable et suffisant pour nous faire vivre, et je grandissais donc, passant de l'école primaire à l'école secondaire. Jamais rien de bien emballant ne m'est arrivé, j'ai eu des peines d'amour comme n'importe qui, des garçons que j'ai aimés et qui en réponse me traitaient de poil de carotte, des filles qui semblaient sympa mais qui en fait étaient des garces de premières, d'autres avec qui je n'aurais pas cru pouvoir m'entendre aux vues de nos différences et qui, pourtant, sont devenues mes meilleures amies. À l'âge de seize ans, je suis tombée amoureuse d'une fille pour la première fois, ça m'a perturbée et j'ai décidé de garder ça pour moi, jusqu'au moment où j'ai eu besoin de parler et où je me suis donc confessée à une amie sur mes sentiments à l'égard de la fille en question, que je n'avais pas nommée. Elle désapprouvait, elle mit tout le monde au courant, et certaines de mes amies me lâchèrent alors que d'autres m'appuyèrent plus que jamais. Celle dont j'étais amoureuse en faisait partie, me prouvait qu'elle était digne de mon amour pour elle. Mais elle aimait les garçons, pour vrai, et il n'y avait rien que je pouvais faire pour devenir la seule et unique exception à ses yeux. Il me fallut longtemps, près de deux ans, pour oublier l'espoir que j'avais en cette relation, mais je m'en sortis malgré tout indemne.

Mais mon problème, justement, était que ma vie était redevenue beaucoup trop facile. J'avais passé deux ans à souffrir en amour et, là, tout devenait bien ? J'aimais bien trop les défis pour ça. Par amour pour le challenge, je déménageai, quittant Liverpool qui m'avait vue grandir pour aller m'installer à Londres. Presque sans argent, entreprenant des études en langues dont je me foutais éperdument, je sentais que la vie commençait. Rude et difficile, et j'avais faim de ces problèmes qui se faisaient sentir. J'avais dix-huit ans et ma vie commençait. Tout ça pour dire que j'ai commencé à vivre il n'y a pas si longtemps. Je me trouvai un emploi dans un petit restaurant en tant que serveuse, me retrouvant avec un salaire payant à peine mon loyer et la nourriture. N'oublions pas que j'avais l'école à payer, les vêtements, les trucs nécessaires à un bon mode de vie. Passant un jour devant un bar, je vis qu'ils recherchaient des serveuses. Le salaire était plus haut que celui que j'avais au restaurant, je m'empressai donc de déposer mon CV, recevant une réponse positive très rapidement et démissionnant de mon autre emploi. Mais dans ce bar, j'étais loin d'être celle qui se faisait le plus d'argent. Les filles là-haut qui se tortillaient autour d'un poteau en métal devaient gagner presque le double de mon salaire. Et si l'argent ne serait plus pour moi un défi si je décidai de faire ça aussi, j'aurais cependant droit à une toute autre sorte de défi qui m'interpellait tout autant. J'avais une chance de prouver au monde entier, ou plutôt aux quelques pervers qui venaient zieuter les demoiselles, que j'étais réellement quelqu'un. Que ma vie avait beau être morne et sans intérêt, je pouvais la façonner, la rendre tragique, dramatique. Quelques jours plus tard, j'avais mon surnom épinglé sur un petit babillard à l'arrière, m'indiquant à quelle heure je devais monter sur scène. La nervosité ne m'attaqua jamais autant qu'au moment où je posai pour la première fois le talon de ma chaussure sur la scène, mais plus jamais par la suite je ne me fis de soucis à ce sujet. C'était mon métier, c'était tout. Ça me permettait de m'acheter des cigarettes, de l'alcool dont je ne pouvais plus me passer depuis quelques temps, et de la drogue que j'étais graduellement en train de découvrir. J'achetais des vêtements de tous les styles, qui allaient avec humeurs, j'achetais de la nourriture tellement pauvre en gras pour ne pas grossir que mes factures doublaient, mais j'avais beau être serrée dans mes comptes, je ne manquais de rien.

Mais qui dit strip-tease dit aussi prostitution. C'est pratiquement garanti ; tu le veux, ça va ensemble. Je refusais toujours les propositions, au début. Puis, en y repensant, je me dis que ce serait à la fois si bon et si lâche de me prostituer ; faire de l'argent en se laissant faire. En gros, ça ressemblait surtout à ça. Monter sur scène, me donner en spectacle à des tas de gens à la fois ? Je n'en aurais plus besoin. J'allais avoir la paix de tout ça, simplement en me pavanant dans la rue en attendant qu'un gentil monsieur m'offre de nombreux billets pour que je me laisse pencher. C'était dégueulasse, mais ça ne manquait pas de thriller. J'allais adorer, j'en étais tout simplement convaincue. Qu'est-ce qui pousse une fille à la prostitution ? Soit le manque d'argent -ce qui n'était plus tellement mon cas-, soit l'envie pure et simple de faire une connerie pour prouver à tous qu'on ne fait pas partie du moule. Pour moi c'était ça. Je n'ai jamais eu dans l'idée qu'il était intelligent de me prostituer. Je le fais parce que ça me donne mes journées de congé et parce que c'est un mode de vie qui n'a rien d'acceptable. On est bien quand on transgresse les limites, on se sent comme quelqu'un.

•• Je donne mon avis non comme bon mais comme mien.

▌QUE PENSES-TU DE LA LÉGENDE DE JACK L'ÉVENTREUR ?
Pas grand-chose... Bon, c'est sûr que ça fait un peu peur. C'est barbare, c'est dégueulasse. J'aimerais pas finir éventrée, on s'entend. Mais le mot le dit, c'est une légende, et le fou furieux qui circule dans les rues en voulant rendre ça plus vrai que nature se prend à mon goût beaucoup trop au sérieux. C'est ça que ça fait, de raconter de telles histoires aux enfants !

▌PLUTÔT MASSACRE A LA HACHE OU AU COUTEAU ?
Les cochons d'inde sont en chaleur toute l'année. A de nombreuses reprises, il circule autour de la femelle à pas prudents, en balançant l'arrière-train et en émettant des claquements. On dit alors qu'il "roule des mécaniques". Quand il essaye de frotter son corps contre celui de la femelle, elle s'oppose violemment en se mettant sur ses pattes postérieures, en projetant en avant les pattes antérieures et elle montre les dents en ouvrant la gueule toute grande.

▌QUE PENSES-TU DU JACK MODERNE ET DE SA MÉDIATISATION ?
N'importe quoi qui a droit à une médiatisation trop importante a le don de me rendre agressive. J'y aurais peut-être porté beaucoup plus attention si je n'avais pas été bombardée par ces informations 24 heures sur 24. J'en suis au point que je n'écoute plus que des séries à la télévision, pour m'éviter ce blablatage incessant sur un sujet dont j'ai suffisamment entendu parlé lors des deux premiers jours de diffusion. Si un sujet de conversation en vient à ça, je le fais partir en dérape vers autre chose. Je n'ai pas envie que ma vie tourne autour d'un gars que je ne connais même pas.

▌PENSES-TU AVOIR UNE RAISON D'AVOIR PEUR DE CE NOUVEAU MEURTRIER ?
Oui, probablement. Après tout, sachant à quel genre de filles il s'en prend, je suppose que je pourrais être une victime parfaite pour ce cinglé. En même temps, au nombre de filles de joie qu'on retrouve dans les rues, je ne devrais pas tellement m'imaginer que ça puisse tomber sur moi. Après tout, comme on le sait si bien, "ça arrive toujours aux autres"...

•• Dans la vie c'est comme ça. Tout finit par finir, même le pire..

© Espe

NOM DE LA CÉLÉBRITÉ UTILISÉE :: Cintia Dicker
EST-CE UN PV ? :: Nan.

TON PSEUDO :: Stunning Features. Mais allons, soyons fous, mon nom c’est Katherine, c’est mieux d’utiliser ça. (:
TON ÂGE :: 16 ans.
TON AVIS SUR LE FORUM :: (L) (L) (L)
COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? :: DYL. (a)
DES SUGGESTIONS PEUT-ÊTRE ? :: Même pas. x)
TA PRÉSENCE SUR LE FORUM :: Normalement, 7/7.
RÈGLEMENT SIGNÉ ? :: J’y vais de ce pas !
UN EXEMPLE DE RP ::
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ARE YOU READY TO GO ?
Spoiler:

Invité

Bienvenue sur BTJ Mademoiselle dance

!

Merci de ton inscription, j'édite ton code il est bon Wink

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Si tu as quoique ce soit comme question n'hésites pas à contacter le Staff journal

Bienvenue sur le forum =D Que de jolis prénom en plus <333

Sans indiscrétion puis-je savoir qui tu joues sur DYL? XD

Je mise sur Prudence. ='D

Bienvenue ! x)
Tu peux pas savoir à quel point j'aime ce prénom ! Merci de l'avoir pris ='D
Bon courage pour ta présentation ! ^^