Tue moi mais ne me fais point languir ô innaccesible - Clint is over.

•• Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi !

Icons de votre personnage

◘ Nom :: Wrath ◘ Prénom :: Clint ◘ Surnom(s) :: C'est une blague ? ◘ Âge :: 43 ans ◘ Date de Naissance :: 06/01/1966 ◘ Nationalité :: Ecossais ◘ Statut Social et Activité ((Métier)) :: Député et Candidat à la mairie de Londres. ◘ Orientation Sexuelle :: Hétérosexuel ◘ Groupe :: Fanatics

•• Ce que je suis dans l'esprit de tout le monde n'est pas forcément ce que je suis.

▌CHAQUE HOMME A TROIS CARACTÈRES : CELUI QU'IL A, CELUI QU'IL MONTRE, ET CELUI QU'IL CROIT AVOIR :

Clint, c'est le genre de type qui a du mal à se regarder dans le miroir le matin sans avoir une furieuse envie de vomir. Du coup, il les a tous banni de chez lui, les miroirs. Son problème majeur c'est qu'il est absolument prêt à tout pour arriver à ses fins, quitte à blesser, quitte à humilier, quitte à détruire ... Peu importe, ce qui compte, c'est le résultat. Clint est un homme accompli, qui a tout pour réussir et qui est bien conscient de son potentiel. D'une finesse d'esprit inégalable, il sait se jouer des autres comme personne, allant de manipulation en faux semblant, de vaine camaraderie à la destruction totale de quelconque individu se mettrait en travers de son chemin. S'il est homme à contrôler chacun de ses actes et de ses réactions, il lui arrive cependant de ne plus être maitre de lui-même l'espace d'un instant, lorsque de violentes pulsions le prennent ... sa tendre fille en fit l'amère expérience. Pourtant Clint fut capable d'aimer autrefois, il aima même éperdument mais lorsque le bras glacial de la mort brisa l'équilibre fragile qu'il s'était constitué, il sembla qu'il perdit toute notion de bien et de mal, allant jusqu'à anéantir la dernière femme qu'il aimait. Son âme l'a quitté et il oscille aujourd'hui entre fatalité et espoir d'absolution. Mais le mal est en lui à présent et lorsqu'il a élu domicile dans une enveloppe charnelle, il ne la quitte pas de sitôt.

•• Je donne mon avis non comme bon mais comme mien.

▌QUE PENSES-TU DE LA LÉGENDE DE JACK L'ÉVENTREUR ?

Les déments, malgré l'horreur qu'ils nous inspirent ne finissent pas de nous fasciner pas vrai ? Ils font naitre en nous ce sentiment dérangeant d'admiration mêlé à la honte la plus primaire. Jack l'éventreur est de ces individus charismatiques, effrayants au possible. Je ne fais point partie de ces petites gens qui écarquillent les yeux au moindre racontar et j'estime que mon rang m'incombe de garder les pieds sur terre. Ceci dit, je le reconnais, je ne fais pas exception à la règle et l'histoire m'intriguera toujours un peu.

▌PLUTÔT MASSACRE A LA HACHE OU AU COUTEAU ?

Les cochons d'inde sont en chaleur toute l'année. A de nombreuses reprises, il circule autour de la femelle à pas prudents, en balançant l'arrière-train et en émettant des claquements. On dit alors qu'il "roule des mécaniques". Quand il essaye de frotter son corps contre celui de la femelle, elle s'oppose violemment en se mettant sur ses pattes postérieures, en projetant en avant les pattes antérieures et elle montre les dents en ouvrant la gueule toute grande.

▌QUE PENSES-TU DU JACK MODERNE ET DE SA MÉDIATISATION ?

Évidemment l'histoire fait scandale et les rentrées d'argents liées au médias sont proportionnelles à l'ampleur de l'évènement. On entend tellement d'inepties de nos jours et je suis bien placé pour savoir qu'entre ce qui est dit et ce qui est fait, il existe une marge colossale. La sur-médiatisation ne me dérange pas, elle aveugle les idiots et ce n'est pas plus mal dans un sens. Pour ma part, je reste lucide et j'attends de pouvoir juger le personnage qui, s'il se montre intelligent pourrait bien m'être utile.

▌PENSES-TU AVOIR UNE RAISON D'AVOIR PEUR DE CE NOUVEAU MEURTRIER ?

Il ne faut pas se voiler la face : je suis un personnage public et donc une cible potentielle. Ce type n'a pas l'air d'être un crétin de base et s'il venait à déballer sur la place publique quelques éléments compromettants de mon passé ... A vrai dire je préfère ne pas y songer pour le moment.

•• Dans la vie c'est comme ça. Tout finit par finir, même le pire..

Avatar de votre personnage (c) Crédit du graphiste (Rose)

NOM DE LA CÉLÉBRITÉ UTILISÉE :: Christian Bale EST-CE UN PV ? :: Oui TON PSEUDO :: prettyscondrel TON ÂGE :: 19 ans TON AVIS SUR LE FORUM :: Surkeephant d'un point de vue externe. : ) COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? :: Hasard quand tu nous tiens. DES SUGGESTIONS PEUT-ÊTRE ? :: Peut-être que non pour le coup. TA PRÉSENCE SUR LE FORUM :: Souvent. RÈGLEMENT SIGNÉ ? :: Yes I did it ! UN EXEMPLE DE RP :: Spoiler: ARE YOU READY TO GO ? Spoiler:

▌CONFIEZ AU PASSE SA PROPRE DÉFENSE, A L'AVENIR SON PROPRE ACCOMPLISSEMENT :

Ta main tremblait comme jamais tandis que tu t'évertuais à le tenir fermement ce foutu flingue. Voir ta peau pâle et délicate au contact d'un objet si vulgaire me hérissait d'horreur ... surtout que c'est moi et nul autre que tu visais. Il avait du te falloir un courage immense pour me retrouver et affronter la vue de mon visage infâme, celui que tu devais haïr viscéralement depuis des années maintenant. Comme je te comprenais, comme j'aurais voulu moi aussi détruire cet être immonde si j'avais été à ta place. Alors j'aurais pu te supplier d'en finir, t'implorer à genou de mettre fin à notre calvaire là, tout de suite, mais je ne l'ai pas fait. Crois-moi bel ange, si j'avais été persuadé que tu n'éprouvais que du dégout à mon égard, alors c'est ce que j'aurais fait. Mais tu as hésité, en réalité, tu n'avais jamais vraiment voulu me tuer, pas vrai ? Voilà pourquoi j'ai essayé de te faire entendre raison. Je t'ai promis que tout changerait et j'étais sincère. Je ne toucherai plus, tu pourrais même commander le moindre de mes faits et gestes. Tes yeux se sont embués de larmes et le coup est parti. Mon bras mutilé ... ma vie sauve et toi, déjà loin.

Aujourd'hui je voudrai me racheter je crois. Je ne pourrais jamais être ton père, il est trop tard pour cela et les sentiments que j'éprouve toujours à ton égard ne sauraient y être rattachés. J'imagine que tout ce que je peux espérer c'est que tu tolères mon existence, loin de toi, ce qui, entre nous, est surement un châtiment bien plus douloureux que la mort. Mais je l'ai bien mérité ce vide cruel que tu as laissé. Je suis responsable de tout et toi tu n'as à rougir de rien, pauvre petite chose immaculée que tu es. J'ai conscience que j'ai fait de toi une âme damnée ... De toutes manières, que pouvait-il bien ressortir d'autre de mon engeance ? Je suis pourri jusqu'à la moelle et voilà tout ce que je te laisse pour héritage. T'avoir auprès de moi est le pire danger qui soit et je ne puis vivre si tu n'es pas là. Alors que devons-nous faire ? J'ai bien peur qu'il soit déjà trop tard pour réparer l'irréparable.

J'ai toujours été affreusement égoïste et nombres d'individus peuvent se vanter d'en avoir fait les frais. Je pense à Lilian, cette fille qui était follement amoureuse de moi et que j'ai lâchement délaissé pour ta mère, qui, au début, n'était pour moi qu'une étrangère. Mais je l'ai ensuite aimée, plus que tout, et ça tu le sais. J'avais beau tous les piétiner comme de vulgaires insectes, ta mère était toujours là pour me rappeler que j'appartenais au genre humain. Je ne l'en remercierai jamais assez. Et puis tu es née et je t'en ai voulue instinctivement : je t'en ai voulu de ne pas être ce fils que j'avais tant désiré. J'en oubliais alors de t'aimer et tu appris à grandir sans père. Heureusement qu'Helen était présente, une fois de plus. Elle t'a aimée pour deux, t'a offert tout ce dont tu avais besoin et s'en est allée, sans autre forme de cérémonie. C'est à cet instant précis je crois, que quelque chose s'est brisé en moi. L'injustice était telle, la douleur si vive, que je n'étais pas plus vivant qu'elle et que je ne le suis probablement plus aujourd'hui.

Mais toi, tu es restée. Et je t'ai découverte pour la première fois, prenant conscience de ton existence, de la valeur que tu avais à mes yeux. Je t'ai chérie de loin pendant de longs moments, admirant combien tu lui ressemblais, combien ta jeunesse, ton visage grave et tes manières délicates lui appartenaient aussi. Tu étais devenue si belle et moi j'étais tellement vide que tu m'apparus soudain comme le remède à tous mes maux. Égoïste te dis-je. J'ai été violent, indélicat et tu n'as pas bronché. Pendant de longs mois nous avons écumé notre folie, la mienne que je distillais dans notre sang comme un poison. Je perdais pieds, noyé dans ton regard céleste et je te tuais à petit feu. La situation devenant incontrôlable, il ne me fut pas difficile d'endosser à nouveau mon costume de connard hypocrite pour t'éloigner de moi et te priver de ta liberté. Je n'aurai pas l'audace de t'affirmer que je l'ai fait pour ton bien mais à l'époque, je craignais vraiment qu'un matin, tu ne te réveille pas.

Je ne te demanderai pas pardon. Ce serait indigne de moi. J'ai envie de te promettre de tout arranger, de panser tes blessures ou même de disparaitre à jamais. Mais la prochaine fois que tu croiseras mon chemin, je ne puis te le certifier, puisque le domaine dans lequel j'excelle, c'est bien lorsqu'il s'agit de te faire du mal, pas vrai ?