•• Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi !
◘ Nom :: Myndelis ◘ Prénom :: Shakespeare, Julian ◘ Surnom(s) :: Shake' , Juju, Myn-myn, qu'importe... ◘ Âge :: 29 ans ◘ Date de Naissance :: Le 8 janvier 1980 ◘ Nationalité :: Américaine ◘ Statut Social et Activité ((Métier)) :: Célibataire - Gardien d'un cimetière - Pianiste à ses heures perdues. ◘ Orientation Sexuelle :: Hétérosexuel ◘ Groupe :: Fanatics
•• Je donne mon avis non comme bon mais comme mien.
▌QUE PENSES-TU DE LA LÉGENDE DE JACK L'ÉVENTREUR ?
Jack l'éventreur est en quelques sortes mon idole. Quand j'étais gosse, j'ai embrassé une fille du nom de Mary Ann. Le même jour, un siècle plus tôt, Jack a tué une certaine Mary Ann Nichols, vous vous en souvenez ? Bref. Il se trouve que je mes suis servi de cette histoire pour faire peur aux autres, et ça m'a bien fait rire. Je respecte énormément ce meurtrier, il est vraiment très fort, et j'adore son mode opératoire.
▌PLUTÔT MASSACRE A LA HACHE OU AU COUTEAU ?
"Les cochons d'inde sont en chaleur toute l'année. A de nombreuses reprises, il circule autour de la femelle à pas prudents, en balançant l'arrière-train et en émettant des claquements. On dit alors qu'il "roule des mécaniques". Quand il essaye de frotter son corps contre celui de la femelle, elle s'oppose violemment en se mettant sur ses pattes postérieures, en projetant en avant les pattes antérieures et elle montre les dents en ouvrant la gueule toute grande."
▌QUE PENSES-TU DU JACK MODERNE ET DE SA MÉDIATISATION ?
Franchement, je n'aurai jamais cru possible qu'un Jack moderne puisse exister. Vous n'imaginez même pas ce que ça m'a fait quand je l'ai appris. Je trouve ça super, surtout que pour moi, Jack moderne est une sorte de Justicier. Et puis il est plus doué que l'ancien, ce qui me semblait impossible. Ce mec est vraiment trop fort. Et je trouve ça super que cette histoire soit autant médiatisée, je ne veux rien louper !
▌PENSES-TU AVOIR UNE RAISON D'AVOIR PEUR DE CE NOUVEAU MEURTRIER ?
Personnellement, non, je ne pense avoir aucune raison d'avoir peur de lui. Je ne pense pas être son genre de victime. Au contraire, je lui suis reconnaissant. Grâce à lui, mon cimetière se remplit et est beaucoup plus attractif. C'est cool ! Et puis si jamais il devait me tuer, non, je n'aurais pas peur, je serais plutôt heureux. Mourir assassiné par Jack serait la meilleure fin possible !
•• Dans la vie c'est comme ça. Tout finit par finir, même le pire..
(c) Aurélie
NOM DE LA CÉLÉBRITÉ UTILISÉE :: Austin Nichols EST-CE UN PV ? :: Non
TON PSEUDO :: Donnez-moi celui que vous voulez ! TON ÂGE :: 17 et 3/4 TON AVIS SUR LE FORUM :: COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? :: DYL ! DES SUGGESTIONS PEUT-ÊTRE ? :: / TA PRÉSENCE SUR LE FORUM ::Presque tous les jours. RÈGLEMENT SIGNÉ ? :: Oui UN EXEMPLE DE RP ::
Spoiler:
Cela faisait quelques semaines. Combien ? A vrai dire, Dimitri n'en avait vraiment aucune idée. Là seule chose dont il était vraiment sûre, c'est qu'elle était partie. Rusalka. Elle avait quitté Miami. Elle l'avait quitté, lui. Il était tombé amoureux d'elle au premier regard, et ils étaient en couple depuis pas très longtemps. Seulement, c'était déjà fini. Leur histoire d'amour avait été courte, trop courte. Au fond de lui, le jeune Gorlanova avait encore pleins de sentiments pour elle, de l'amour qu'il aurait pu lui donner. Mais cet amour était fichu, il était en ruine, il était périmé désormais. Cela vous semble certainement exagéré, à vous qui n'avez pas vécu la rupture d'un amour aussi fort que le leur. En réalité, la seule qui pouvait le comprendre, c'était May. Elle aussi avait eu droit à une rupture, et le pire dans l'histoire c'est que c'est aussi un Boskonovitch, Sergueï, le frère jumeau de Sally et meilleur ami de Dimitri, il avait rompu avec elle. C'est dingue à quel point les Boskonovitch peuvent faire souffrir...
Avant le départ des jumeaux, la relation entre May et Dimitri était très étrange. En réalité, le jeune homme n'avait jamais rien eu contre elle. Son meilleur ami était son petit copain, par conséquent, il partait du fait que si Sergueï sortait avec elle, c'est parce qu'elle avait un minimum de qualités, elle devait être sympa. Par contre, la jeune Hughes était étrange quand elle se trouvait face à lui. Comme s'il lui faisait peur, comme si elle le craignait. C'est vrai que parfois, Dim' exerce sur les autres une sorte de charisme impressionnant on va dire. Enfin je ne sais pas comment expliquer ça. Il peut paraître étrange dans sa façon d'être, c'est peut-être ça qui a fait peur à May. Pourtant, au fond, le jeune russe n'est pas du tout ce qu'elle imaginait. Si l'on gratte un peu, on découvrira la véritable nature de Gorlanova : un petit ours à la guimauve enrobé de chocolat. Je suis pas si loin que ça de la vérité, je vous assure.
Ce matin-là, la villa semblait presque vide. Dimitri était sous sa couette, bien au chaud, dans l'obscurité de sa chambre. La veille, il avait entendu May rentrer, il était tard. Quelle heure exactement, il n'en savait rien. Il était déjà couché, et il n'avait pas eu le courage de regarder l'heure. Comme vous l'avez compris, aujourd'hui ils n'étaient que deux, dans cette si grande maison. Ses volets n'étaient pas ouverts, mais le jeune Gorlanova avait un préssentiment, il sentait que dehors, il ne faisait pas beau. La lumière qui entrait légèrement dans sa chambre n'était pas assez lumineuse pour un jour ensoleillé. Aucun bruit. La jeune fêtarde devait donc dormir. Ce qui n'est pas franchement étonnant. Ayant la flemme de se lever, Dim' resta d'abord un instant allongé dans son lit, ses écouteurs dans les oreilles, pensant à tout un tas de choses, terminant les rêves qu'il n'avait pas eu le temps de finir pendant la nuit. C'est dingue ce que le jeune homme aime penser. Il a l'impression que tout ce qu'il ne peut pas réellement avoir, il peut l'obtenir par la pensée. Le plus souvent, c'est à elle qu'il pense, à Rusalka. Elle n'était plus là, et quand il pensait à elle, c'est comme si finalement elle était tout près de lui. Mais ce matin-là il ne pensait pas à elle. A d'autres personnes, à des rencontres faites récemment. Etait-ce là le tournant vers une nouvelle vie, vers un nouveau départ ? Certainement oui.
Une fois l'album de Muse terminé, Dimitri retira ses écouteurs, et posa son balladeur sur sa table de chevet. Il poussa sa couette, de manière à ce qu'elle ne recouvre que ses pieds. Quelques petits étirement, un baillement, et hop, debout ! Le jeune homme était en caleçon, il enfila seulement un débardeur. Ensuite, il ouvrit ses volets, et son hypothèse fut validée. Dehors, les nuages recouvraient Miami. Le ciel menaçait de fondre en larmes. Et il y avait cette odeur d'humidité, comme s'il venait juste de pleuvoir. Une odeur que le jeune russe apprécie tout particulièrement. L'air était frais, et les joues de Dim' commençaient à devenir légèrement roses. Il laissa sa fenêtre ouverte, et se dirigea vers la salle de bain, quelques vêtement propres en mains. Il prit une bonne douche bien chaude, se lava les dents, s'habilla... Le rituel du matin quoi. Une fois tout beau tout propre, il referma la fenêtre de sa chambre et s'apprêta à descendre. En passant devant la chambre de May, il entendit quelques petits bruits. Il colla alors son oreille à la porte de la demoiselle, et perçut un petit soupire. Elle devait être sur le point de se réveiller. Direction la cuisine.
Dimitri voulait lui préparer un bon petit déjeuner. A vrai dire, il aimait prendre soin d'elle. Cette petite jeune femme qui semblait si fragile. Surtout depuis sa rupture avec Sergueï. Elle semblait au bord du gouffre. Et le jeune homme se démenait pour elle, pour qu'elle ne manque de rien, pour qu'elle soit un minimum heureuse. C'est dingue ce qu'il pouvait faire pour aider les autres. Son existence passe après celle des autres. Il a toujours été comme ça, et bien souvent on lui a dit de s'occuper de lui, qu'il en faisait trop pour aider ceux qui l'entouraient. Mais que voulez-vous, il est comme ça. Avez-vous déjà vu Gorlanova derrière les fourneaux ? Non ? Pourtant, il se débrouille bien, très bien même. Et oui, cela fait parti de ses qualités que beaucoup ignorent. Il fit des oeufs à la poële, du bacon grillé et des pancakes, mais des pancakes que l'on pouvait manger sucés ou salés, au choix. Il déposa le tout sur la table, et apporta ensuite la confiture, la pâte à tartiner, les jus de fruit, le thé, le lait, le café... Tout ce qu'il y avait de mangeable pour le petit déjeuner. Il venait de finir de préparer la table, quand il entendit un bruit derrière lui.
"Tu tombes bien, le p'tit déj' est prêt, j'espère que t'as faim !"
Il se retourna. May était là, dans un drôle d'état. Elle avait pas l'air très bien, et des cernes immenses s'étaient installées sous ses yeux. Le jeune russe ultra-protecteur s'approcha d'elle, un sourire compatissant sur le visage. Il la comprenait. Les chagrins d'amour ne sont pas faciles à gérer, on a tous une période de déprime et de laisser-aller. Il la prit doucement dans ses bras, de manière à ne pas trop la brusquer, et lui caressa doucement le dos.
"Dis donc, t'as pas la forme toi, pas vrai ?"
Il la relâcha, et plongea son regard dans celui encore à moitié endormi de la demoiselle.
ARE YOU READY TO GO ?
Spoiler:
OK by Ava
Dernière édition par Shakespeare J. Myndelis le Ven 30 Oct - 17:26, édité 13 fois
Sujet: Re: Être ou ne pas être - Shakespeare J. Myndelis Jeu 29 Oct - 19:11
•• Ce que je suis dans l'esprit de tout le monde n'est pas forcément ce que je suis.
▌CHAQUE HOMME A TROIS CARACTÈRES : CELUI QU'IL A, CELUI QU'IL MONTRE, ET CELUI QU'IL CROIT AVOIR :
"Je dois avouer que mon caractère n'est pas facile à cerner." Shakespeare J. Myndelis
Shakespeare est le gardien du cimetière St John. Ceci nous apprend pas mal de choses sur lui, sur ce qu'il est. Il suffit de se demander pourquoi. Pourquoi ce métier ? Si vous lui demandez, il vous répondrait "pourquoi pas ?" tout en arquant un sourcil, l'air de dire "mais de quoi il se mêle celui-là ?". En réalité, le jeune homme aime ce qu'il fait. Surveiller les morts. Il aime se dire que s'il y en a un qui sort de sa tombe, ça sera à lui de lui courir après, de lui bondir dessus et de le renvoyer d'où il vient. Mais ce qu'il aime par dessus-tout, c'est se balader au milieu des tombes, casques sur les oreilles. Être seul, dans cette ambiance que beaucoup qualifierait d'effrayante, avec du bon Linkin Park dans les oreilles, ça lui plait. Shakespeare a toujours été très seul, et rien ne lui a jamais fait vraiment peur à vrai dire. La musique, c'est sa passion. Il joue du piano, et il a un talent fou. Quand il joue, Myndelis est un vrai perfectionniste. Il suffit qu'il fasse une fausse note pour qu'il recommence un morceau. Et trop de fausses notes, ça a le don de l'énerver. Quand il s'énerve, il change complètement. Il devient violent, et blessant. Des ces moments-là, personne ne peut l'arrêter, et il vaut mieux le laisser se calmer tout seul. Mis à part ça, on pourrait qualifier le pianiste d'étrange. Il est gentil, aimable, poli, doux, souriant, mais ce n'est pas tout. Il peut passer du mec parfait au mec effrayant. Alors il devient lunatique. Son regard s'assombrit, ses sourires s'effacent, ses sourcils se froncent. Il devient lugubre, effrayant. D'où le fait qu'il soit difficile à cerner. En réalité, son caractère change suivant les personnes avec qui il se trouve, s'il les aiment bien ou pas. Mais aussi suivant de son humeur générale : s'il a renversé la bouteille de lait la matin même ou non. Shakespeare n'est pas mauvais. Il est juste lui-même. A vous de l'apprécier, ou non.
▌CONFIEZ AU PASSE SA PROPRE DÉFENSE, A L'AVENIR SON PROPRE ACCOMPLISSEMENT :
"Vous devriez aller lire des trucs sur Jack, ça sera bien plus intéressant que ce qui va suivre." Shakespeare J. Myndelis
Philadelphie, c'est une ville pourrie. Trop de pollution, trop de bruit, trop de monde, trop de tout. Nous étions le 8 janvier 1980. Il pleuvait, il faisait froid, et le chirurgien, il faisait chier. Et Suzanna Myndelis, jeune prostituée, en avait marre d'attendre. D'abord elle avait dans le bide un gamin qu'elle n'avait pas voulu et qui l'avait empêché de bosser pendant des mois, et en plus ce fichu chirurgien était à la bourre. Encore dix minutes de retard, et elle lui ferait avaler son scalpel. Encore, si le gosse était dans le bon sens, voilà longtemps qu'elle aurait poussé et qu'elle l'aurait éjecté, mais non, il était à l'envers. La poisse ! Finalement (et heureusement pour lui), le docteur Sheppard arriva. On procéda donc à la césarienne. Quelques heures, et voilà, le nouveau-né était là.
"Vous voulez l'appeler comment ?" demanda un sage femme. "J'm'en fiche, j'le garde pas !" répondit la prostituée. "Certes, mais il lui faut un nom à ce petit ange." "Appelez-le Shakespeare ! J'aime pas Shakespeare ! Puis tant qu'à faire, comme deuxième nom, donnez-lui celui du chirurgien !"
Elle ne savait même pas comment ce dernier s'appelait, mais elle n'en avait strictement rien à cirer. Son fils pouvait s'appeler "Enfoiré de première" que ça lui ferait ni chaud ni froid. Suzanna quitta la maternité le plus vite possible, et le petit Shakespeare Julian Myndelis fut déposé dans un orphelinat.
Mais pour tout vous dire, c'était bien mieux ainsi. Avec sa mère biologique, sa vie aurait été bien pire. Il grandit donc dans cet orphelinat de Philadelphie. Vieux, pourri, et plein de gamins. Déjà enfant, il se mettait à l'écart des autres. Son temps, il le passait seul, où alors à se battre. A vrai dire, il se sentait mal dans sa peau. On le traitait de fils de prostituée, de moins que rien. Et ça le mettait hors de lui. Au départ, il ne se laissait pas faire, et donnait naissance à de nombreuses bagarres. C'est comme ça qu'il devînt violent. A chaque fois qu'on le cherchait, il y avait cette rage au fond de lui. Le nombre de nez qu'il a cassé, de dents qu'il a fait tombé, d'oeil qu'il a creuvé, il est énorme, si vous saviez. Mais il était fier de ça, fier de lui. Peu à peu, on arrêta de le traiter, on le laissa tranquille. Shakespeare s'est mis à aimer la solitude. Puis un jour, il tomba amoureux de la musique. On lui présenta un piano, et il découvrit sa passion. C'était évident, il avait du talent.
Le 31 août 1988, alors qu'il avait 8 ans, il embrassa pour la première fois une fille. Ce n'était qu'un pari, ça ne voulait rien dire pour lui. Cette fille s'appelait Mary Ann. Saviez-vous ce qui s'est passé, un siècle plus tôt, à la même date ? L'assassinat d'une demoiselle, du nom de Mary Ann Nichols, par un certain Jack l'éventreur. Pour Shakespeare, c'était plus que du hasard ! Le jour où il embrasse une Mary Ann, voilà qu'à la même date une autre est tuée. (Evidemment que ce n'est que du hasard, mais le garçon aimait se dire que non.) C'est grâce à ça que se développa la seconde facette du caractère de Myndelis. Au départ il disait simplement en plaisantant "fais gaffe, si je t'embrasse, tu crèves !". Puis ça a évolué, pour finalement devenir cette partie sombre et effrayante de lui. Au final, l'enfant se mit à adorer ce meurtrier du XIXème siècle.
A l'école, il n'avait jamais voulu bosser. Pourtant il écoutait tout, et il était très intelligent. Mais bosser, ce n'était pas son truc. Alors un jour, pour plaisanter, un surveillant de l'orphelinat lui conseilla de devenir gardien de cimetière, qu'il n'y avait rien de mieux pour un solitaire comme lui. Mine de rien, cette idée resta dans l'esprit de Shakespeare. Il fit quand même des études, en psychologie, avant de devenir gardien de cimetière à Philadelphie. Mais les Etats-Unis, ça commençait royalement à la gonfler ! Alors il quitta le pays, pour venir s'installer à Londres. Là, il trouva un nouveau job, au cimetière St John. Et en plus, vous savez quoi ? Il se trouve que Jack l'éventreur est de retour. Jamais Myndelis n'aurait pu rêver mieux.
Dernière édition par Shakespeare J. Myndelis le Ven 30 Oct - 16:57, édité 14 fois
Sujet: Re: Être ou ne pas être - Shakespeare J. Myndelis Jeu 29 Oct - 19:12
Bienvenue sur BTJ ! Magnifique pseudo par ailleurs
Merci de ton inscription, si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésites pas à contacter le Staff
Bon courage pour ta fiche
Miranda Harlow
Libraire
▌Age : 32 ▌Messages : 414 ▌Date d'inscription : 25/10/2009 ▌Localisation : Dans la raie de tes fesses...pfffiou mais nan! A la maison de la p(a)resse XD ▌Célébrité : Drew Barrymore
Sujet: Re: Être ou ne pas être - Shakespeare J. Myndelis Jeu 29 Oct - 19:47
Dimitri ? *le seul Russe que je voie*
Ou alors peut-être que tu parlais de mon perso sur DYL ?
Miranda Harlow
Libraire
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Sujet: Re: Être ou ne pas être - Shakespeare J. Myndelis Jeu 29 Oct - 19:51
Est-ce votre dernier mot ? ^^
Et la réponse est... Dimitri ! Bien joué à vous deux, vous remportez la somme d'un carambar, à vous partager entre vous deux (c'est le seul truc que j'ai sous la main). ^^
Et vous, et vous ? ^^
Miranda Harlow
Libraire
▌Age : 32 ▌Messages : 414 ▌Date d'inscription : 25/10/2009 ▌Localisation : Dans la raie de tes fesses...pfffiou mais nan! A la maison de la p(a)resse XD ▌Célébrité : Drew Barrymore
Sujet: Re: Être ou ne pas être - Shakespeare J. Myndelis Ven 30 Oct - 15:40
Shakespeare J. Myndelis a écrit:
Est-ce votre dernier mot ? ^^
Et la réponse est... Dimitri ! Bien joué à vous deux, vous remportez la somme d'un carambar, à vous partager entre vous deux (c'est le seul truc que j'ai sous la main). ^^