◘ Nom :: Sullivan ◘ Prénom :: Andrea ◘ Surnom(s) :: Drew ◘ Âge :: 22ans ◘ Date de Naissance :: 25 Juillet 1987 ◘ Nationalité :: Anglaise ◘ Statut Social et Activité ((Métier)) :: Couple Libre et Libertin _ Gérant du Leather Rex ◘ Orientation Sexuelle :: Hétérosexuel ◘ Groupe :: FANATICS
•• Ce que je suis dans l'esprit de tout le monde n'est pas forcément ce que je suis.
▌CHAQUE HOMME A TROIS CARACTÈRES : CELUI QU'IL A, CELUI QU'IL MONTRE, ET CELUI QU'IL CROIT AVOIR :
« On me considère souvent comme un fou, un égocentrique, un marginal, et j'en passe. Pour ma part, je pense faire partie de ces gens qui ont laissé tomber leur morale à la con ainsi que leur réflexion. N'agissant que par instinct et pulsions, je fais partie de ces êtres dépourvus de remords. Mon tempérament de feu ainsi que mon absence total de flegme, fait de moi un personnage assez charismatique. Connu des forces de l'ordres dû à mon impertinence et mon orgueil, ma réputation n'est plus à faire. Je suis comme un de ces animaux sauvages, indomptables même si on y met toute la violence possible. En parlant de violence, c'est bien la seule chose chose que j'élève au rang de passion. Malgré ma carrure, je reste quelqu'un de très belliqueux, et que ce soit Goldorak ou la reine d'Angleterre, je l'attaquerais d'une fureur incommensurable. Attaques moi au poing, je sort un couteau. Tu m'attaques à la batte de base-ball, pas de problème, je sort un flingue. Et si t'as un minimum de couilles pour m'attaquer au flingue, pris pour m'avoir tuer le premier, sinon je reviendrais à la charge, tel un démon curieux de savoir lequel de nous deux va clamser. En y pensant, il y a t-il quelque chose de plus graphique et délicieux que la violence. C'est ce qui a bercé toute l'existence de l'homme et qui a fait de nous ce que nous sommes. Alors comme mes prédécesseurs en quête de nouvelles terres ou en guerres communautaires, je continuerais à me battre physiquement et mentalement contre tout les antagonistes qui se dresseront devant moi et mon idéologie du monde baignant dans "l'Ultra-violence". J'ai donc mes idées bien arrêtées sur notre société actuelle. Certains me prenne pour un anarchiste, ou encore un nihiliste. Pour moi notre époque est encore trop dans le passé, nous devons aller de l'avant et concevoir une utopie concrète, basé sur la non-existence de loi et de direction. La démocratie n'est qu'une illusion, une grotesque connerie conçus par nos dirigeant pour pouvoir nous la mettre en toute discrétion. Le pouvoir corrompt les gens, il faut donc le détruire pour soigner tout ces assoiffés de richesses qui pense encore que l'argent fera leurs bonheurs. Je ne veux plus qu'on décide à ma place, lorsqu'un homme cesse de choisir, celui-ci cesse d'être un homme. Je déprécie toute sorte de restriction que ce soit pour les mœurs ou le politiquement correcte, je m'en branle. Je prône la luxure et toutes excentricités sexuelles du moment que celles-ci me fasse frémir. Et si ça en déplait certains, je tacherais de leur faire comprendre en déversant mon foutre sur leurs visages gracieux de banalité. C'est donc pour ça que j'ai créé cette boite de Sado-masochiste. Ma chère comparse ainsi que quelques gourgandines, s'occupent de satisfaire les envies pernicieuses des personnes payant pour une petite séance, tandis que je m'occupe de ramasser l'argent. Le proxénète et les putains, ça marche comme ça depuis des années, on change pas une équipe qui gagne. Accompagnant tout cela, quelques larcins et commerces illégaux pour renflouer les caisses. Tout ce travail est bien évidement effectuer au "black". Comme si une personne de mon acabit allait déverser une quelconque TVA ou taxe pour cette société si détestable. Certains me prennent pour un déjanté, et ils n'ont pas tout à fait tord. Alors calme ta folie mon ami, la mienne est d'une névrose illimitée... »
▌CONFIEZ AU PASSE SA PROPRE DÉFENSE, A L'AVENIR SON PROPRE ACCOMPLISSEMENT :
«Je fais partie de ces gosses n'ayant eu guère de chance dès leurs arrivées au monde. Peu après que je fusse né, mes parents périrent dans un accident de voiture. Malchance quand tu nous tiens, et pour le plus grand des malheurs, ce fut à mes grands frères dont l'un était majeur, de s'occuper de moi. On ne peut pas dire que ces deux là avaient un quelconque instinct paternel et encore moins maternel. Lorsque j'étais bambin, la seul façon qu'ils trouvaient pour faire taire mes pleurs incessants, fut de crier encore plus fort. Autant vous dire que je connu jamais ce qu'était la béatitude et la douceur, qu'un nourrisson doit normalement avoir durant les premières années de sa vie. En grandissant cela ne s'améliora point. A la place des cris, ce fut alors les coups qui vinrent faire leurs apparitions. Plusieurs fois je venais à l'école, marqué de bleus, sous les yeux attristés de mes professeurs. Étrangement je ne faisais l'annonce d'aucuns mécontentements et en était presque au remerciement à chaque fois que mes deux ainés vinrent à me frapper. Pourquoi? Et bien c'était le seul amour qu'ils pouvaient m'offrir, il fallait faire avec ce que j'avais. Tout ceux qui me prendrais pour un fou, c'est tout simplement qu'ils ne comprennent pas mon vécus et surtout qui ne descellent pas le sens du mot "violence", qui a beaucoup plus de symboles que l'on puisse le croire. Puis au fur et à mesure, la sympathie et la complicité s'installa entre nous trois. Mes deux frères n'étaient pas des tendres, ça ce n'était un secret pour personne. Je pris alors modèle sur eux, me baignant dans mère violence. Au départ ce ne fut que des injures, puis à nouveau les coups firent leurs apparition, et j'eus la même réputation que mes ainés. Bristol, ville où je suis né et où j'ai vécus plus de la moitié de ma vie. Un de ses nombreux quartiers dû me supporter durant plusieurs années, et grâce à lui et mes frères, j'appris toute les lois et les combines de la rue. Gagnant de la notoriété et de la richesse grâce aux combats et aux vols, je devins un vrai prédateur, malgré ma corpulence qui laissait à désirer. Je touchais alors au doux plaisir qu'est la luxure et la drogue. Mais tout ça accompagné dans la violence. J'eus souvent la famille de mes ex-compagnes à dos, lorsque celles-ci rentraient chez elles avec des bleus ou des bosses. Mais que voulez-vous, je ne peux réellement prendre mon pied qu'en frappant, mordant, griffant, serrant... La drogue fut ma deuxième amante, où je passais et je passe toujours avec elle, des moments de plénitudes intenses. Les narcotiques dit doux, me firent bientôt pas assez d'effet, et je dus passer au niveau supérieur, comme mes frères l'avaient fait auparavant. J'apprécie les biens faits de la cocaïne ainsi que toutes autres drogues hallucinogènes, mais je ne passerais certainement jamais le stade de l'héroïne, peur de devenir un véritable déchet de la société. Malheureusement, tout amusement eut une fin, et à force de voler, violenter et pratiquer la vente d'illicites, j'eus le droit à un beau séjour en prison. Je passais alors un an de ma vie dans ce lieux de perdition et d'extrême violence. Dans les prisons, croire que l'on peut s'en sortir seul, n'est qu'illusoire. C'est dans cet établissement que le communautarisme est à son apogée. Les groupes sont fait alors selon les ethnies. Les principales sont les "Noirs", les "Skin-ead Nazis" et les "Manouches". Je fus accepté par les manouches grâce à la notoriété de mes frères et je passais alors une année en leurs compagnies. En prison on oubli tout espoir et surtout toute les bases de la société. Les lois sont complètements différentes, et c'est pas en récitant le code civile que tu vas réussir à survire. La règle primaire est "Bouffe ou fais toi bouffer". Le temps aussi est énormément long. A ma sortie j'eus l'impression d'avoir perdu dix ans. Dix ans d'innocences, et de morales. Si la société pensait que ce séjour allait m'être bénéfique, autant se mettre d'ambler un gros doigt au cul. Je sortais de prison, tel un fauve qui sortais de sa cage. Mais ne pouvant déferler toute ma violence à Bristol, dû à ma réputation et surtout avec tout les criminels de Bristol à dos, je dû me résigner à partir à Londre. Ici j'allais profiter au maximum de la grandeur de cette ville pour y faire la loi. Je fis crédit à une banque et pus m'acheter une enseigne et y monter un magasin pour chien. Mais j'avais bien d'autres projets pour cet endroit... »
•• Je donne mon avis non comme bon mais comme mien.
▌QUE PENSES-TU DE LA LÉGENDE DE JACK L'ÉVENTREUR ?
« Un des rares contes que j'apprécie, je dois l'avouer. Mais le parfait n'existe pas dirons-nous. Il y a quelques points qui me tirailles au sujet de ce cher Jack. Le premier fut son acharnement à éventrer seulement des prostituées. Ayant un profond respect et "amour" envers ces femmes, qui offrent leurs corps à toute la souffrance de monde. Puis il y aussi le fait qu'elles remplissent mes caisses après avoir effectué quelques heures de travail. Je suis seulement proxénète à mes heures perdues, mais ça me ferait tout de même chier de retrouver une de mes "employées" les tripes à l'air. Sa technique n'est pas non une chose que j'apprécie beaucoup. Profiter de la nuit et de la brume pour tourner autour de sa victime, et lui tendre un coup tranchant à la jugulaire. Personnellement je préfère l'aliéné, complètement étranger à lui même et à ses pulsions, qui débarque avec le nouveau type de fusil d'assaut, du style Bushmaster M4A2, et qui déverserait des rafales de balles sur tout un groupe de gens, lors d'une réunion hebdomadaire, tel une messe, un dimanche matin. Par contre je lui discerne un 20/20 pour la finition de son travail. On voit alors la façon méticuleuse qu'il a à extraire certains organes gastriques de ses victimes. Le résultat est très pittoresque et montre la patience et à la fois la passion que Jack a pour ses œuvres. »
▌PLUTÔT MASSACRE A LA HACHE OU AU COUTEAU ?
"Les cochons d'inde sont en chaleur toute l'année. A de nombreuses reprises, il circule autour de la femelle à pas prudents, en balançant l'arrière-train et en émettant des claquements. On dit alors qu'il "roule des mécaniques". Quand il essaye de frotter son corps contre celui de la femelle, elle s'oppose violemment en se mettant sur ses pattes postérieures, en projetant en avant les pattes antérieures et elle montre les dents en ouvrant la gueule toute grande.".
▌QUE PENSES-TU DU JACK MODERNE ET DE SA MÉDIATISATION ?
« Je ne crois que ce que je vois, et les légendes urbaines n'ont jamais été qu'une fantasque connerie comme les comptes de fées, à mes yeux. Mais si cet être existe vraiment, il doit alors savoir qu'il a tout mon respect et mon amitié. Mon respect, car ça ne doit être guère aisé de reconstituer l'œuvre de Jack le premier du nom. Et si celui-ci a un minimum de jugeote et un certain sens artistique, il pourrais innover l'œuvre de "l'Éventreur", en un y ajoutant une petite once de modernisme. Au sujet de sa médiatisation, je suis plutôt favorable à cela, car pour une fois les gens vont peut être prendre conscience de la souffrance et de la violence de ce monde. Meurtre, viol, vol, vandalisme. Tout cela ne semblait pas les concerner jusqu'à maintenant. La terreur n'existe pas qu'au Tiers Monde, elle est juste sous votre gueule. Et le fait qu'on ne connaisse pas l'identité de cet "héritier", en est encore plus jouissive de curiosité. C'est peut être un de nos proches, notre facteur, ou encore un voisin... »
▌PENSES-TU AVOIR UNE RAISON D'AVOIR PEUR DE CE NOUVEAU MEURTRIER ?
« La seul peur que je puisse avoir à son égard, est qu'il se fasse arrêter. Nous n'en sommes qu'au prémices, du moins je l'espère, et il serait dommage que tout s'arrête maintenant. Surtout en cette période de monotonie et de lassitude, quelques meurtres bien sanguinolents ne peuvent que me remettre d'aplomb. Donc pour mon bien psychique, il est préférable que Jack, deuxième du nom, continuent ses séries de meurtres. Mais si le belliqueux s'avère être un jour, mon ennemi, je n'aurais aucunes pitié à arrêter le "mythe" à grand coup de hache en plein crâne. »
•• Dans la vie c'est comme ça. Tout finit par finir, même le pire..
NOM DE LA CÉLÉBRITÉ UTILISÉE :: :: Ash Stymest EST-CE UN PV ? :: :: Oui TON PSEUDO :: Jack TON ÂGE :: hihi :] TON AVIS SUR LE FORUM :: Ma foi, pourquoi me saurais-je inscris ici si je n'aimais pas le contexte et le gfx de ce forum? xD COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? :: Partenariat (NYTDS) DES SUGGESTIONS PEUT-ÊTRE ? :: Aucunes pour le moment TA PRÉSENCE SUR LE FORUM :: 4/7 RÈGLEMENT SIGNÉ ? :: Oui EXEMPLE DE RP ::
Spoiler:
« Vous êtes toujours sur radio K-Billy, il est 7h45 et vous écoutez l'émission "Les super sons des seventies". Passons à présent au duo Gerry Rafferty & Joe Egan , connus sous le nom de Stealers Whell. Et ce méga tube enregistré en 1974, a été classé cinquième au hit parade cette année là: Stuck in the middle with you. »
Radio réveil de merde. Heureusement qu'il passe mon émission préféré chaque matin, sinon ça ferait un bail que je l'aurais détruit à coup de marteau... C'est donc sur un doux son de Rock'&'Roll façon seventies, que je vins à me lever par contrainte. De toute façon j'avais une livraison à faire dans quelques heures. Une vingtaine de savons m'avait été commandé par une grande institut de beauté. Que voulez vous, je faisais très certainement les meilleurs savons de la ville étant donné que je me servais de graisses humaines pour confectionner ces produits primordiaux aux mondes entiers. Quel bel équilibre économique! Je revendais à des personnes, la graisses qu'ils s'étaient fait liposucer. Si je fais mes savons avec de la graisse humaine, ce n'est pas seulement pour le plaisir de voir le malheur des hommes revenir à eux en une forme différente, mais c'est aussi pour avoir une meilleurs qualité du produit et donc de les vendre plus chers. Pour faire un savon il faut une quantité de sels bien déterminé, et celle des humains contient assez de chlorure de sodium pour fabriquer des savons d'une qualité supérieure. Rapidité, qualité et quantité, que demander de plus? Bien sur cette pratique n'est pas légale étant donné que les hommes se sont promus eux même en tant que souverain du monde, et c'est donc à eux de décider quelles graisses prendre. Celles du bœuf et du porc sont les plus courantes. Pour ma part un mort reste un mort, que ce soit un homme ou un porc, on devrait prendre la graisse qu'on veut. Quelle rodomontade de se croire supérieur seulement parce qu'on pense être doté d'un Q.I plus haut que d'autres êtres. C'est là toute la bêtise de l'homme, aveuglé par son égaux si grand, qui lui cache la vue sur la réalité.
Trêve de pensées irritantes, et c'est d'un pas trainant de lassitude que je vint à la cuisine, histoire de manger pour se nourrir et non par plaisir. Le néant intersidérale s'était invité dans mon frigo. J'avais deux frigos mais c'était complètement inutile d'ouvrir le deuxième car je savais déjà ce qu'il y avait dedans. De la graisse congelée et tout autres produits chimiques qui se conservent au frai. Soit, pas de petit déjeuner pour le moment, mais je comptais bien me rattraper après car pour tout dire, j'avais une faim de loup et la tête dans le cul. Retour à la case départ, et me voilà dans ma chambre où j'enfilais un costard, car protocole marketing l'oblige. Mais mon ensemble restait peu ordinaire. Ma veste de costume était rouge accompagné de carreaux de même couleur à contours blancs. Quand à mon bas, celui-ci se caractérisait par un pantalon à pince marron à rayure noire. Une chemise blanche à fleur pour orner mon buste et enfin l'habit le plus cher, parait mes pieds. Des mocassins italiens de même couleur que mon bas, sans les rayures, avec une petite touche doré à l'attache de cette chaussure. On aurait certainement put attribuer mon ensemble à un clown, mais il aurait fallut que ce clown-ci ai un très mauvais goût vestimentaire. Et pour couronner le tout, une pair de lunette de soleil RayBan "Aviator", munit de verres rouges. J'en avait aussi à verre noir et vert, mais le rouge se prêtait plutôt bien aux reste de mes vêtements. Que voulez vous, j'allais vendre chez l'institut de beauté Dior, il fallait être un minimum présentable. Je pris aussi soin de remplir mon attaché-caisse d'une vingtaine de savons. Le rendez-vous allait se faire à Manhattan et n'ayant pas de moyens de transports personnels pour le moment, je dus me résigner à prendre le bus.
« I'll tip my hat to the new constitution Take a bow for the new revolution Smile and grin at the change all around me Pick up my guitar and play »
9h30, l'émission "Super son des Seventies" allait se terminer par le terrible titre Won't Get Fooled Again du groupe mythique The Who, diffusé en 1971. J'arrivai alors à Manhattan et quittai le bus pour me retrouver nez à nez devant une enseigne connu mais pas très apprécier par ma personne. Starbucks Coffee, la multinational du café, le Coca Cola du caféier. Je m'étais toujours dis que je n'irais plus détruire mon cerveau dans cet établissement mais mon estomac m'obligeai à remettre à plus tard mon non-conformisme. Si personne ne réagit, dans quelques années ce seront les multinationales qui dirigeront le monde. Le royaume Microsoft, l'empire IBM, le gouvernement McDonald, la nation Starbucks... C'est avec un dégoût non dissimulé que j'entrai à l'intérieur de cette firme. Je semblais attiré quelques regards lors de mon arrivé mais je n'y prêtais guère attention, préférant marcher droit devant moi et prendre une banquette déserte. Une serveuse arriva dès que je fus installer et que je pus poser mon attaché-caisse, pour prendre ma commande. Je pris un "Breakfast Blend", le café le moins corsé, car je suis pas un grand amateur de ce nectar tantôt acide, tantôt amer. Avec cela, je commandai une boîte de six muffins aux chocolat, agrémentés de pépites aussi en chocolat. Ces friandises allaient me couper l'appétit pendant deux petites heures.
Je laissais la jeune serveuse partir en cuisine pour passer ma commande. Je profitais de cette petite attente pour regarder les clients en cette heure matinal. A ma gauche, un homme âgé, l'air décontracté au vue de sa tenue, où l'on pouvait humer la fermeté de son café à des kilomètres à la ronde. Juste derrière, une jeune fille à la chevelure blonde était dos à moi, et plus loin je pouvait apercevoir une femme, l'air placide et frigide, munit d'un tailleur, qui buvait son gobelet Starbucks à petites gorgées. A l'opposé de celle-ci, deux jeunes filles faisaient l'ambiance à elles seules, du bâtiment silencieux, en parlant et en gesticulant dans tout les sens. Je n'étais pas fan des voix féminines, et encore moins des voix aussi aiguës qui démontrait leurs juvénilités. La serveuse de tout à l'heure arriva alors avec ma commande, n'oubliant rien au vue de la simplicité de cette dernière. Je commençais par ma boisson, histoire d'avoir un autre goût dans la bouche, que celui du renfermé qui datait d'hier soir. Après ça, j'entamais la dégustation des muffins où deux de la boite arrivèrent dans mon estomac à une vélocité gargantuesque. C'est en mâchant la dernière partie de mon deuxième muffin, que je perçus une silhouette se déplacer derrière moi et arriver à à ma banquette. La bouche pleine je regardais la personne qui ne m'était pas inconnu. Une belle petite blondinette au physique enfantin. Son visage me rappelai le jour où je l'avais vu pour la première fois au bord d'un trottoir, marqué par des bleus. J'appris qu'elle était putain et la suite se passa dans un restaurant puis chez moi où nous passâmes la nuit ensemble. Son nom, elle semblait penser que je ne m'en rappelais plus. Même si je rencontre beaucoup de personnes tout les jours, j'étais encore en mesure de me rappeler du nom des personnes avec lesquels j'ai échangé de tendres et doux moments. Je finis par avaler ma dernière bouchée afin de répondre à la belle qui disais ne pas s'attendre à me croiser ici. Elle n'avait pas tord, ce n'était pas vraiment un endroit que je fréquentais dût au causes susnommées.
« Et où pensiez vous me croiser mademoiselle Alice? »
Je repris avec un ton tout aussi amical.
«Je pense que tu peux me tutoyer à présent.. »
ARE YOU READY TO GO ?
Spoiler:
OK by Ava
Dernière édition par Andrea Sullivan le Lun 2 Nov - 21:54, édité 22 fois
Sujet: Re: DREW:: « Le génie est un flot baigné par la folie. » Mar 27 Oct - 17:40
Bienvenue sur BTJ ! En plus tu t'apelles Jack .. le hasard fait bien les choses ! mdr
Bonne continuation pour ta fiche, j'édite ton code il est bon . Ca suffit maintenant ! Les Teletubbies c'est mille fois mieux ! Isaac j'vais finir par comettre un meurtre si on le modifie pas ce mot de passe ! Désolée crise passagère ..
Pour ce qui est de l' hétérosexualité ( ou pas ) de Drew il va falloir attendre l'avis d'Isaac puisqu'il s'agit de son PV .
Merci encore de ton inscription Mister
Leyhann E. Ferguson
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▌Age : 34 ▌Messages : 1669 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : En train de creuser sa tombe. ▌Célébrité : Kaya Scodelario
Sujet: Re: DREW:: « Le génie est un flot baigné par la folie. » Mar 27 Oct - 18:02
Bienvenue ! x) Excellent choix de pv ! ='D Pour ce qui est de l'hétérosexualité de Drew, je n'y vois pas d'inconvénient. ^^
Bon courage pour ta présentation ! x)
Invité Invité
Sujet: Re: DREW:: « Le génie est un flot baigné par la folie. » Mar 27 Oct - 18:09
Jack est enfaite mon surnom dû à une histoire beaucoup trop longue, pas intéressante et chiante. Donc une histoire qui n'a pas à être raconté en ce lieu. xD
Merci pour l'accueil et aussi pour la permission de changer l'orientation sexuel de mister Drew. :3
Pv: SpongeBob powaa! :']
Mael Le Télier
▌ADMINISTRATEUR ▌
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Sujet: Re: DREW:: « Le génie est un flot baigné par la folie. » Sam 31 Oct - 18:02
Bienvenue à toi sur le forum ! Yep, Ash est cool, j'approuve ma VDD (et pour cause )
Par contre si tu pouvais créditer les icônes, ça m'arrangerait ... c'est comme ça que les icônes peuvent s'éparpiller partout sans que personne ne sache qui les a faites (moi, en l'occurence )
Invité Invité
Sujet: Re: DREW:: « Le génie est un flot baigné par la folie. » Lun 2 Nov - 23:07
FICHE TERMINED :]
PS: C'est fait Kerns
Mael Le Télier
▌ADMINISTRATEUR ▌
▌Age : 31 ▌Messages : 812 ▌Date d'inscription : 26/09/2009 ▌Localisation : My house ▌Célébrité : Tom Sturridge