| | SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 13:03 | |
| •• Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi !
© FOX | ◘ Nom :: Sullivan ◘ Prénoms :: Sasha Sebastian ◘ Surnom(s) :: Sas' ou le SS ◘ Âge :: 26 ans ◘ Date de Naissance :: 4 mars ◘ Nationalité :: Britannique ◘ Statut Social et Activité :: Célibataire, Barman ◘ Orientation Sexuelle :: Hétérosexuel ◘ Groupe :: Enemies
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•• Ce que je suis dans l'esprit de tout le monde n'est pas forcément ce que je suis.
▌CHAQUE HOMME A TROIS CARACTÈRES : CELUI QU'IL A, CELUI QU'IL MONTRE, ET CELUI QU'IL CROIT AVOIR :
Dérangeant, Sasha est surtout un homme indépendant, presque solitaire : il n’a jamais eu besoin d’autrui ou de son jugement pour exister et mener sa vie comme il l’entend. C’est seul qu’il a affronté la vie, et c’est seul qu’il veut continuer de le faire, quand la contrainte devient ni plus ni moins qu’une raison d’être. En outre taciturne et discret, il a le sentiment de n’avoir point besoin de se mettre en avant et de jouer les héros du dimanche ; tranquillement, il fait son chemin et agit dans l’ombre, préférant, et de loin, garder le confort de son mystère. Peu sociable quoi que très affable, Sasha garde simplement la lourde conviction qu’on ne peut être trahi que par autrui et que le meilleur moyen de s’en protéger, c’est encore de ne pas faire confiance. Il se fie à lui-même, il se méfie des autres et leur divulgue ce qu’il veut bien leur divulguer, aussi insuffisant cela puisse-t-il être bien des fois. Il se veut l’observateur et non l’observé, motif pour lequel il voit souvent des choses qui échappent aux autres en restant tout bonnement spectateur silencieux et non acteur virulent. Il passe la plupart de ses gestes avec finesse et intelligente, alors qu’il est pourtant un impulsif de premier ordre.
Car tant qu’il reste en retrait et que personne ne vient le chercher, Sasha ne ressent pas le besoin de se battre de front, mais dès lors qu’on l’implique dans le feu de l’action, il ne répond plus d’aucune subtilité ni réflexion. Il faudrait même admettre que son tempérament subversif le pousse à la violence, tant physique que verbale. Plus encore la seconde que la première. Car Mr Sullivan ne se prive pas souvent de donner son avis, si acéré puisse-t-il être. Quand on sollicite ses réponses, il a le verbe acide et critique, franc, direct mais souvent blessant. Comme le veut l’adage, il dit ce qu’il pense et pense ce qu’il dit, au mépris même de la sensibilité d’autrui. Incapable de lutter contre le venin échappant à ses lèvres, il est familièrement très déprécié pour cela. Il ne le fait pas forcément exprès, mais il lui est presque impossible de contrôler cela. C’est de loin le plus grand travers de sa répartie, toujours là, mais toujours aiguisée.
Surtout que Sasha est avant tout quelqu’un de dévoué et d’intelligent. Il n’a pas tellement fait d’études et ne connaît aucun grand de ce monde, mais c’est quelqu’un de très accessible quand il le permet. Il a presque le monopole du paradoxe qui fait de lui un individu peu confiant envers les autres et d’un homme séduisant pourtant. Le mystère, le jeu et l’audace, il les maîtrise parfaitement et ses trois atouts s’utilisent autant à la guerre qu’en amour. Comme il ne croit pas à l’amour, il envisage très aisément toutes ses conquêtes précisément comme telles, et rien de plus. D’ailleurs, ses ex petites amies sont toutes parties de leur plein gré, déplorant son esprit énigmatique au possible avec tout à chacun et sa parole d’acier, pour quiconque.
En quelques mots, Sasha est donc quelqu’un qui peut être un peu tout et son inverse, dans la mesure où il ne montre que ce qu’il veut bien montrer. Cela étant, rien ne frappe plus que son côté marginal et assassin par les mots, qui lui attire, la plupart du temps, des ennuis si ce n’est des ennemis.
▌CONFIEZ AU PASSE SA PROPRE DÉFENSE, A L'AVENIR SON PROPRE ACCOMPLISSEMENT :
« Quand quelqu’un vous insulte par filiation et que vous avez pertinemment conscience de la fiction de ce fait, c’est toujours très facile de balayer l’injure comme si de rien n’était, n’est-ce pas ? Mais quand un de vos camarades de classe vous dit de but en blanc que vous n’êtes jamais qu’un fils de pute… et que c’est vrai, que faites-vous ? »
Originaire de Bristol, Sasha était pourtant le petit-fils d’un britannique engagé pour la Libération de la France en 1944, héros ayant versé son sang sur les côtes normandes aux premières heures du débarquement. L’ironie de l’histoire voulut bien que ce soit l’élément déclencheur d’une longue descente aux enfers pour les Sullivan ; défaite de tout revenu agricole, la veuve se traîna sans le sou dans les bas-fonds, vendit son corps pour s’offrir le couvert et eut près de six bâtards après le décès de son époux ; Amanda fût de ceux-là, et elle engendra à son tour Sasha, au titre de la même pauvreté, au motif du même emploi, pour quelques sous de plus. Dégradation, pestilence, demi frères et sœurs ça et là, et pour le jeune descendant Sullivan, une vie de solitude et d’indépendance… de viols et de violences aussi.
Ce fût la raison principale de ses errances dans les rues et de son manque évident d’éducation. Les bancs de l’école, il les quitta extrêmement tôt, et il apprit des métiers aussi simples que voleurs ou commis. L’histoire de Sasha depuis sa naissance jusqu’à ses seize ans reste particulièrement vague, secrète, sans véritablement faits officiels dans les registres civils, pas plus que dans les mémoires d’hommes ou de femmes. La rumeur veut qu’il ait été séquestré, battu et abusé, mais Sacha n’a jamais confirmé ou infirmé cette théorie. En vérité, quoi qu’il ait vécu à cette époque, il y a fort à parier qu’il s’est forcé à omettre tout de cela.
C’est à seize ans, et avec deux livres sterling et 65 pence en poche, que Sasha a pris le chemin de la capitale. Londres, ce n’était pas tant qu’il en rêvait que l’une des rares villes où il était certain de n’être connu de personne. Car c’est avec l’infamie collante de la prostitution qu’il passa l’entrée de la capitale britannique, presque comme un paria pour l’époque. Il n’avait ni passé, ni avenir, et c’est sans doute la raison pour laquelle il lui fût si facile d’être autant tout le monde que personne. Il connaissait le milieu urbain, il connaissait cette mentalité, et tout Londres n’était jamais plus qu’un nouveau départ.
Sa carrière professionnelle, Sasha l’a faite dans des bars. D’abord à force de paris ou de combats moyennement lucratifs, puis en tant que barman après quelques descentes de police. Par on ne sait trop quel miracle, il échappa toujours à la prison et se contenta de converser son job, de gagner une misère, et d’avancer pourtant. Ses fréquentations de l’époque se résumaient particulièrement à des ivrognes mariés fuyant femme et enfants, passant leurs samedi soirs devant un match quelconque et annihilant les stocks de bière à vue d’œil. Ce fût un tel milieu qui eut raison de sa persistante humiliation, désormais quasiment convaincu qu’il était de finalement valoir quelque chose.
Et le temps fit le reste, puisqu’il passa de vulgaires bars de mauvais quartiers à des clubs plus distingués, plus à un véritable casino luxueux et bien payant. Il passa par quelques années difficiles, des relations dégradantes, et la vérité c’est que si cela lui prit autant de temps, c’est qu’il eut toutes les peines du monde à mettre de côté son intégrité et son franc parler. Il lui a tout bonnement fallu rencontrer le patron qui l’accepterait avec ses singularités, motif pour lequel il conserve aisément son job désormais. Vie de routine, loin de Bristol, en fait. Du moins jusqu’à la réapparition (médiatique en fait) de Jack l’Éventreur.
Quel que soit l’assassin, Sasha a surtout retenu que l’une de ses ex petites amies était des victimes. Si Sasha a gardé des relations chaotiques avec les femmes, il restait attaché à chacune d’elle. Déjà hostile à la médiatisation abjecte de ce tueur, ce n’est qu’avec plus de colère qu’il s’en est deux fois plus impliqué dans son pseudo métier de journaliste. Car telle est sa véritable vocation. Mais sans diplôme et avec des photographies à faire de lui davantage un voyeur détraqué sexuel qu’un reporter avec de bons clichés, Sasha n’est pas prêt de changer grand-chose à la rumeur Jack The Ripper qui se répand dans Londres comme une traînée de poudre.
•• Je donne mon avis non comme bon mais comme mien.
▌QUE PENSES-TU DE LA LÉGENDE DE JACK L'ÉVENTREUR ?
« Par principe, que ce sont des conneries. Il y a eu des victimes, il y a eu un meurtrier, bien évidemment, mais tout le reste est aussi absurde qu’une bonne vieille légende de vampires. Selon moi, a presse faisait déjà à l'époque tout le contraire de ce qu’elle devait et ce sont les rumeurs urbaines et les imaginaires populaires qui ont fait le reste. Très sincèrement, ce n'était pas de l'information... de la fiction à grande échelle, tout au plus. » ▌PLUTÔT MASSACRE A LA HACHE OU AU COUTEAU ?
« … plutôt un nœud coulissant autour du cou ou une balle dans la tête ? Je peux me montrer très créatif, moi aussi, quand je le veux bien. » ▌QUE PENSES-TU DU JACK MODERNE ET DE SA MÉDIATISATION ?
« La masse a besoin du frisson. Le prolétaire a besoin de ne se sentir en sécurité nulle part. Le bon peuple londonien nécessite la protection de l’autorité qu’il a élue et surtout de leur déléguer plus de pouvoir et de liberté encore pour la sûreté interne. …ah, ah, ah, prends-moi pour un con et avec un sourire en plus. Vous savez ce qu’est un ‘copieur’ en Sciences Criminelles ? Eh bien, voilà ce qu’il est, un simple copieur, un fanatique épris d’une légende et décidé à faire renaître un monstre populaire. En plus, qui condamnerait un type qui tue des prostituées ou des personnes de mauvaise vie, plus simplement ? Non, on devrait décerner une médaille à ce type ! Voilà ce que j’en pense… si vous avez du second degré, ça ira, sinon, relisez, hein, et on se rappelle. »
▌PENSES-TU AVOIR UNE RAISON D'AVOIR PEUR DE CE NOUVEAU MEURTRIER ?
« Jusqu’à preuve du contraire, je ne suis pas une pute. Vrai ou faux ?… là, je vais me vexer. Mais pour répondre, non, je n’ai pas peur. Et même s’il avait une foutue raison, je l’attends de pied ferme. Très honnêtement, le fait qu’il ait tué une de mes ex petites amies m’a rendu que plus impatient de faire sa rencontre. S’il croit qu’il a un motif pour me descendre, j’espère juste qu’il sera assez important pour valoir tous les motifs qu’il a de crever. »
Dernière édition par Sasha Sullivan le Lun 26 Oct - 18:26, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 13:03 | |
| •• Dans la vie c'est comme ça. Tout finit par finir, même le pire..
© BARDA
| NOM DE LA CÉLÉBRITÉ UTILISÉE :: Jared Leto EST-CE UN PV ? :: Ouep TON PSEUDO :: SPF TON ÂGE :: TON AVIS SUR LE FORUM :: j'espère que vous n'y avez pas passé trop de temps, parce que tout ça pour ça ?.... désolé, c'est parce que j'ai toujours trouvé cette question futile. COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? :: les voies du Seigneur sont impénétrables, chers amis DES SUGGESTIONS PEUT-ÊTRE ? :: aucune, merci TA PRÉSENCE SUR LE FORUM :: quotidienne, normalement RÈGLEMENT SIGNÉ ? ::non, mais je vais le faire, alors oui UN EXEMPLE DE RP ::
- Spoiler:
14 janv. 2004 - 18h32 Budapest, Hongrie « Embrasse-moi. - Tu ne vas pas mourir. - Lászlo, insista-t-elle en se serrant davantage contre lui. »
Faisant « non » de la tête avec sa légendaire obstination, l’air s’engouffra dans ses poumons avec une douleur nouvelle ; déglutissant péniblement, il fit un effort colossal sur lui-même pour garder son regard durablement ancré dans celui de celle qui, fût un temps, avait été consacrée comme sa femme et qui, finalement, semblait n’avoir jamais cessé de l’être. S’appuyant sur sa nuque, celle-ci prit sur elle à son tour et, étouffant sa grimace dans un sourire naïf, vint capturer les lèvres de son ami, mari, amant, dans un baiser si fugace qu’elle en eut les larmes aux yeux. Lászlo, lui, la tint un peu plus fermement dans ses bras et, ravalant toute sensibilité au nom de son orgueil, garda cette lueur claire mais froide au fond des yeux, de celles qu’elle détestait tant voir, apercevoir, ou seulement entrevoir, comme un crime que l’on aurait capté contre sa volonté et dont le criminel aurait eu l’audace, d’en outre, se vanter. Elle perdit alors sa candeur, comme la neige aurait fondu au soleil. Devant l’air arrogant qu’il prit, elle le reprit froidement : « Une vie existe après la mort. Et avant aussi, oui, je sais, ajouta-t-elle devant l’œil noir qu’il lui fit pour toute réponse. Mais… (elle toussa et le sang perla à la commissure de ses lèvres) je ne sais pas. Je ne saurais dire si j’ai vécu avant aujourd’hui. - Ne sois pas tragédienne, rétorqua-t-il, réprobateur devant l’ingénuité inconvenante dont elle faisait preuve pour la circonstance. - Je meurs, Lászlo. Ce n’est pas une tragédie. Ce qui est tragique, en revanche, c’est que ce soit moi qui meurs et toi qui vives. » Le visage du jeune homme se décomposa progressivement jusqu’à n’être plus rien qu’un masque de froideur aussi imperméable qu’imperturbable. Il ne lui donna pas tort, mais qu’elle ait encore la gratuité d’esprit de lui rappeler que leurs sorts auraient dû être échangé le blessa profondément, comme si elle avait pu prendre plaisir à enfoncer un pieu dans son cœur et à se délecter de l’effusion de sang en découlant. Cruelle, oui, elle l’avait toujours été. Mais jamais autant que lui. Pour toute répartie cette fois, Lászlo déposa son index au coin de ses lèvres et en humecta légèrement sa peau. Il fit un tracé qui dessina un axe parfaitement perpendiculaire à la mâchoire et descendit jusqu’à son cou. Ainsi maculé de son propre sang, elle eut un regard tendre pour son infâme tortionnaire qui, séduit, porta l’index à ses lèvres propres et en déposa l’essence sur le bout de sa langue. Sans jamais la quitter des yeux, il se délecta, d’un mouvement de langue sur ses lèvres comme pour ne rien perdre de ce breuvage, puis eut, enfin, un geste humain. S’inclinant légèrement, il vint effleurer ses lèvres des siennes et, dans un souffle, lui confia ses secrets. « Je connais leur droit à me punir, comme je n’ignore pas la faute que j’ai commise d’utiliser leurs forces, introduit-il sans la moindre hésitation apparente. Mais… je ne voulais pas de cela pour toi. Je te le promets. Je ne voulais pas. Et, si je le pouvais, je… - Tu quoi ? Intervint-elle froidement. Tu as toujours agi pour toi, Lászlo. Je n’ai jamais vraiment compté, comme ton propre fils n’a jamais vraiment compté pour toi ! Tu vois… (elle toussa) Tu ne nies même pas. Tu es lâche. Lâche et monstrueux. » Le goût sang qu’il garda alors sur le bout de la langue eut un parfum d’amertume qui lui brûla la gorge, une douleur pourtant minime en comparaison de celle que la vision qu’il avait d’elle lui procurait désormais. Perdu et désespéré, Lászlo ne la quitta pas un seul instant des yeux, cherchant dans les méandres de ses sombres iris le réconfort tant espéré. Mais guère. Elle serait impitoyable aujourd’hui. Son dernier souffle de beauté serait cruel. Sa dernière lueur de vie serait meurtrière. Elle ne croyait pas à la vie après la mort, non, sinon elle ne se serait pas attachée avec tant d’application à crucifier le cœur de l’homme qu’elle aimait et aimerait éternellement. Le soleil descendit dans le ciel avec une promptitude sans égard quant à sa douleur. La lente agonie de la femme qu’il aimait fût aussi courte que longue, et qu’elle respire de plus en plus difficilement lui parut de plus en plus insoutenable. Ils ne parlèrent pas tout ce temps. Lászlo ne la quitta pas des yeux, et elle ne chercha plus à croiser son regard. Elle parut, seulement et simplement, dénombrer les gouttes de sang qui échappèrent à ses lèvres et tombaient, soigneusement, sur le jean de son bel amant qui, trop attentif à ses yeux évasifs, ne voyait pas cette tâche pourpre humidifier le tissu. Il le voyait, oui, mais il s’en moquait. Elle laissait sur lui plus que quelques gouttes de vie ; des souvenirs, des émotions, des envies d’apocalypse, des sentiments inaboutis, des projets, des rêves, des espoirs, de la peine, du courage, de la peur, de la candeur, de la magie, de la vie… un peu d’amour aussi. Il l’aimait. Oui, il l’aimait. Instinctivement, ces mots vrillèrent le réel et eurent une telle absurdité qu’elle en releva vivement la tête. Bien sûr qu’elle le savait, bien sûr qu’elle l’avait toujours su, mais… Lászlo était de ceux qui jamais, ô grand jamais, ne disent ces choses là. Secret, il l’était, aimant, également, mais jamais l’un n’allait avec l’autre. Incapable de témoigner de ses sentiments, tout simplement parce que, toute sa vie durant, il n’avait connu que l’affront de la trahison et la froideur familiale, et de l’entendre dire de telles vérités à un moment aussi dramatique qu’il était inapproprié eut le goût de la surprise, si ce n’est même de l’ahurissement. Lui qui ne l’avait pas quittée des yeux se noya dans l’appréciation qu’elle lui témoigna d’un regard. Le lui avait-il jamais dit ? Ce n’était pas aussi absurde qu’on aurait pu leur croire, en dépits même de leur mariage. « On ne devrait pas avoir le droit de mentir à une mourante, dit-elle, sourire aux lèvres. - Tu es incorrigible, se sentit-il obligé de répondre. - Eh oui. Je me dois de mourir comme j’ai vécu. - Tu ne peux pas mourir dignement dans ce cas, lui confia-t-il avec culpabilité. - Lászlo… je n’ai jamais vécu plus dignement qu’avec toi. Peu importe le meilleur et le pire. Sans toi, quel était mon orgueil ? » Il eut beau jaugé, considéré et reconsidéré les sens multiples de cette question purement rhétorique, il n’y trouva ni ironie, ni sarcasme, ni cruauté. Encore que. Son esprit était si vif, si pourvu de second degré, qu’aurait-elle pu imaginer qu’il n’aurait su comprendre ? Tellement de choses. « Je t’aime, répéta-t-il. - Il est trop tard. - Ne sois pas cruelle. - C’est ainsi que tu m’as aimé. - Cruelle ? - Non. Avec cruauté. » Oui, avec cruauté, il l'avait aimée. Elle. Faith.
ARE YOU READY TO GO ?
- Spoiler:
OK by Ava
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| | | Ava Wrath-Monroe
▌Age : 34 ▌Messages : 2178 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : Au-dessus de ta tombe chéri x) ▌Célébrité : Coco Rocha
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| | | | Leyhann E. Ferguson
▌Age : 34 ▌Messages : 1669 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : En train de creuser sa tombe. ▌Célébrité : Kaya Scodelario
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 13:26 | |
| Elle commence déjà à faire la maligne u__u TE LAISSE PAS FAIRE J'adore ton exemple de RP ! A part ca bienvenue et bonne chance pour ta fiche =) | |
| | | Ava Wrath-Monroe
▌Age : 34 ▌Messages : 2178 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : Au-dessus de ta tombe chéri x) ▌Célébrité : Coco Rocha
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 13:31 | |
| Tu veux vraiment que j'commence à te taillader les bras maintenant x) ? | |
| | | Leyhann E. Ferguson
▌Age : 34 ▌Messages : 1669 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : En train de creuser sa tombe. ▌Célébrité : Kaya Scodelario
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 13:34 | |
| ((Je serais tentée de te dire "Oh oui")) Nous allons attendre un petit peu. Ne salissons pas la fiche de présentation de notre cher Sasha. u_u
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| | | Invité Invité
| | | | Ava Wrath-Monroe
▌Age : 34 ▌Messages : 2178 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : Au-dessus de ta tombe chéri x) ▌Célébrité : Coco Rocha
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 16:44 | |
| J'aurai adoré ne pas rester plus longtemps sur ta fiche Mister ^^ mais je dois te demander de bien relire le règlement.
Marginal jusqu'au bout ? mdr | |
| | | Invité Invité
| | | | Mael Le Télier
▌Age : 30 ▌Messages : 812 ▌Date d'inscription : 26/09/2009 ▌Localisation : My house ▌Célébrité : Tom Sturridge
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 16:52 | |
| Héhé ='D (L'auteur de ce paragraphe, c'est Ava..) | |
| | | Leyhann E. Ferguson
▌Age : 34 ▌Messages : 1669 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : En train de creuser sa tombe. ▌Célébrité : Kaya Scodelario
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 16:53 | |
| Moi je dis 50 coups de fouet pour les deux là ... T'en pense quoi Ava ? | |
| | | Ava Wrath-Monroe
▌Age : 34 ▌Messages : 2178 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : Au-dessus de ta tombe chéri x) ▌Célébrité : Coco Rocha
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 17:14 | |
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| | | Ava Wrath-Monroe
▌Age : 34 ▌Messages : 2178 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : Au-dessus de ta tombe chéri x) ▌Célébrité : Coco Rocha
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| | | | Invité Invité
| | | | Ava Wrath-Monroe
▌Age : 34 ▌Messages : 2178 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : Au-dessus de ta tombe chéri x) ▌Célébrité : Coco Rocha
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| | | | Invité Invité
| | | | Ava Wrath-Monroe
▌Age : 34 ▌Messages : 2178 ▌Date d'inscription : 18/09/2009 ▌Localisation : Au-dessus de ta tombe chéri x) ▌Célébrité : Coco Rocha
Carte d'identité ▌ Jack a dit:
| Sujet: Re: SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun Lun 26 Oct - 18:51 | |
| Que tu considères est une chose , que les autres aient besoin de voir le vrai du faux en est une autre lol . Je pense qu'on peut laisser ainsi c'était juste pour être claire sur l'histoire du personnage .
Qui vivra verra x) | |
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| | | | SASHA ; j'aurais peur quand avoir peur sera devenu moins commun | |
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