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 The small Print[PV Phoen-x]

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Nathanael H. Bellamy

Nathanael H. Bellamy


▌Messages : 57
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MessageSujet: The small Print[PV Phoen-x]   The small Print[PV Phoen-x] EmptyMar 22 Déc - 18:22

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    Et il neige encore… Encore et encore.

    Les trottoirs de la ville de Londres étaient enneigée, si bien que l’on ne distinguait plus vraiment ou se trouvait la route du rebord du trottoir. C’était rare, autant de neige à Londres, même en hiver. Cela faisait près d’une semaine que le ciel n’avait pas changé de couleur, il était inlassablement gris et ne laissait pas passer les rayons du soleil. Il était bas, très bas, et rendait bas le moral de tous les londoniens. Déjà qu’ils n’avaient pas beaucoup de véritables jours de soleil par an, on leur en enlevait encore plus par ce temps vraiment hivernal. En temps normal, la ville de Londres était simplement arrosées par de très nombreuses averses, mais la température était radicalement descendue cette année, si bien que les litres de plus diluviennes auxquels on avait le droit tout au long de l’année s’étaient transformé en des dizaines de millions de petits flocons blancs qui restaient accrochés aux vêtements, aux cheveux, aux trottoirs. Il ne faisait pas vraiment bon vivre à l’extérieur en ce moment : la température, même en pleine journée, n’était pas positive. L’hiver avait littéralement fondu sur la capitale anglaise sans que personne ne s’y attende. A présent, n’importe quelle personne ne se promenait plus sans écharpe, gant ou bonnets, et seuls quelques inconscients portaient encore des vêtement qu’on aurait pu dire de mi-saison. Dans les journaux des derniers jours, on avait annoncé la mort de plusieurs SDF, cela changeait au moins des crimes sur les prostituées. On avait toujours considéré la capitale anglaise comme plus sure que les villes américaines, car elle était plus vieille, car les mentalités étaient différentes, mais aujourd’hui, tout cela n’avait plus de sens : la mort et son froid glacial avaient bel et bien pris place à Londres, sans que personne ne puisse y faire quelque chose pour le moment.

    Nate était déjà la de ce paysage entièrement blanc. La tamise était la seule qui créait encore un contraste avec le reste du paysage londonien : elle s’écoulait encore et toujours, tache noire qui serpentait à travers la capitale britannique. Il regardait par la fenêtre ce paysage qu’il ne connaissait que trop bien, et la vision qu’il avait de la ville n’était pas vraiment somptueuse. Il avait vue sur les quartiers les plus pauvres de la ville, mais pour le prix qu’il payait par mois, il trouvait encore que cette vue était belle. Il avait eut une sacré chance de trouver cette appartement dans ce quartier à un si bon prix ; quand bien il ne l’aurait pas eut, il aurait été obligé de se réfugier dans ces quartiers défavorisés où la violence était monnaie courante. Ou alors il aurait pu retourner chez ses parents et s’excuser pour tout, mais non, il était bien trop fier et résolu pour faire cela. Il en était incapable. Alors il logeait ici, tout comme il aurait pu loger ailleurs. A regarder le temps par la vitre, il éprouva une sensation étrange : comme si le temps s’était arrêté depuis une semaine et que les aiguilles ne bougeaient plus du tout. Il n’aurait pas su dire quel heure il était sans regarder l’écran rayé du portable qui était posé sur la table à coté de lui, les journées se suivaient et étaient les mêmes. Il se savait tout de même samedi, et le samedi, il ne travaillait pas. C’était bien une des seules certitudes qui régissaient la vie de Nate. On est samedi, mais je ne me souvient même plus de vendredi soir…. HA si, il se souvenait qu’il avait passé le début de la soirée dans un club glauque, la où il avait sniffer deux ou trois rails, mais ceux ci n’avaient rien d’habituel. Il se remémora une des angoisses nocturnes qui l’avait hanté mais ne réussit pas a savoir comment il était rentré chez lui. Trois heures moins dix, ha quand même… Il se décida à aller dans sa salle de bain, une douche ne lui ferait pas de mal. En passant devant le miroir, il aperçu qu’une traînée de sang avait coagulé sur son visage : il faisait vraiment peine à voir. Il fit couler de l’eau pour enlever cette marque d’une soirée trop arrosée et fila sous la douche. Sous l’eau chaude, il oublia tout, ne focalisant son attention que sur le fait que cette journée allait être comme les autres, répétitive, absolument sans originalité, et déprimante. Pour changer.

    Une heure plus tard.

    Nathanael était prêt à sortir. Non pas qu’il en avait envie, mais il en avait besoin. Il devait quitter cet appartement, même si cela avait comme conséquence qu’il rentrerait le soir chez lui avec une pneumonie. Il devait changer d’air, et laisser son appartement qui sentait le renfermé s’aérer sans lui. En passant devant le tas de ses affaires de la veille, il sentit à quel point l’alcool pouvait vraiment puer et il songea à les brûler ici et maintenant, mais se dit que niveau budget, mieux valait les laver. Il fourra le tout dans la machine à laver, mis une quantité approximative de lessive, mit un programme en route et comme il claquait le tambour de la machine à laver, il claqua ensuite la porte de son appartement pour sortir dans le froid de la rue londonienne. Il devait aller acheter un livre, il ne savait plus bien pourquoi mais il savait qu’il fallait qu’il l’achète. Ha oui, l’anniversaire de sa chère mère arrivait, et comme d’habitude, il lui offrirait un bouquin qui ne lui coûterait pas plus de quatre ou cinq livres, il n’avait pas plus à dépenser pour elle. Déjà qu’il ferait l’effort d’aller lui souhaiter en personne, il paierait déjà bien suffisamment de sa personne.. Tout cela pour ne pas que son père le vire de son poste d'arrangeur sonore dans un studio de la ville. Parfois il fallait savoir faire quelques sacrifices. Parfois… il fallait savoir ne pas en faire. Nate sentit le froid s’insinuer dans le moindre de ses os alors qu’il franchissait la porte du hall de son immeuble. Quelle idée il avait eut de sortir par ce temps la, il fallait vraiment être fou. Personne n’était dans la petite rue qu’il fréquentait, tout le monde était resté bien au chaud, chez lui, et ils avaient vraiment tous raison. Seuls les beaux quartiers devaient être infesté de touristes ou de personnes qui achetaient leurs derniers cadeaux de Noel, qui bravaient le froid pour être vu dans les boutiques branchées et hors de prix du centre de la capitale. Voilà à quoi rimait la vie londonienne, elle n’était qu’un pale reflet de la vie elle même…

    Apres avoir pris le métro qui était étrangement vide, Nate arriva la où il avait pensé allé des le début : Narrow Street, rue des plus sombre mais ou il trouverait son bonheur à très bas prix. Bon évidemment, cette rue faisait partie des bas fonds de Londres, là où il ne faisait pas bon s’aventurer la nuit, mais tant pis, celle ci ne tomberait que dans deux heures, il avait largement le temps d’acheter ce qu’il voulait. Dealers, prostituées, trafiquants en tout genre, tueurs à gage, cette rue était clairement mal famée mais Nate avait prit l’habitude de ne plus rien juger sur les apparences depuis qu’il avait crut être témoin d’un meurtre. L’avait il été ou n’était ce qu’un rêve ? Il n’en savait rien et ne voulait peut être même pas savoir au fond. Bref, cette rue, même si elle avait mauvaise réputation, ne l’effrayait pas plus que cela. Il se dépécha tout de même d’entrer dans la boutique qu’il connaissait et trouva rapidement quelque chose qu’il pourrait offrir à sa mère : un livre de cuisine. Non, il n’avait rien de machiste, bien au contraire, il se moquait parfaitement de la différence homme femme. Mais depuis qu’il avait environ dix ans, depuis l’age où ses parents l’avaient envoyé en pensionnat, ils avaient une bonne qui faisaient les repas, c’était un moyen de se moquer de ses parents, un fois de plus. Et au pire, il mettrait ce petit oubli sur le compte de l’expérience traumatisante qu’avait été la rehab forcée dans laquelle ses parents l’avaient envoyé. Un cadeau de trouver, un ! Apres avoir payé, il s’en ressorti dans le froid.

    Marchant le long du trottoir, shootant comme un gamin dans la neige, attrapant du bout des doigts quelques flocons qui tombaient à porter de ses doigts, Nate redevenait un enfant. Il leva les yeux de ces enfantillages et regarda devant lui et y reconnu une silhouette familière. Phoen-X. Enzophoen était un prénom bien trop compliqué et c’était majoritairement sous son surnom qu’on l’appelait. Cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas, depuis cette fameuse nuit où tout avait failli dérapé. La bouche cachée derrière son écharpe qui lui remontait jusqu’au nez, Nate était en partie dissimulé mais il ne comptait pas vraiment ignorer le jeune homme dont il arrivait à niveau. Sous son écharpe, il ne souriait pas, il arborait une expression neutre, mais son regard pouvait trahir le sentiment qui le faisait se sentir mal à l’air à ce moment la. Il se débarrassa de celui ci quand il arrivait en face de celui qu’il considérait presque comme un ami. Enfin le mot était beaucoup trop fort, surtout pour Nate, mais ils se connaissaient plutôt pas mal. S’arrêtant devant lui, le jeune Bellamy ne trouva pas mieux que dire :

    - Ca fait… longtemps.
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Enzophoen Bokoliny

Enzophoen Bokoliny


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MessageSujet: Re: The small Print[PV Phoen-x]   The small Print[PV Phoen-x] EmptyMer 23 Déc - 13:50

    Cela faisait déjà quatre jours que la majorité de la population londonienne était en vacance. Enzophoen en faisait partit, mais les vacances pour lui étaient synonyme d'ennui. Après tout, avec vacance nous comprenons "grasse matinée" et "fêtes". Enzophoen a toujours aimé étudié, il recherche le savoir, c'est pour cette raison que les vacances ne sont pas un repos pour lui, c'est l'ennui total. Cela faisait quatre jours qu'il était en vacance mais également quatre jours qu'il n'avait pas bougé de son appartement. Le vent glacial soufflait, les flocons de neige envahissait la ville, une température insupportable, tous ces facteurs le poussait à hiberner chez lui. Enzophoen symbole de l'homme solitaire, n'a jamais vraiment apprécié la compagnie d'autrui sauf exception. Un homme spécial qui ne supporte le jugement des autres. La veille, phoen-X avait passé la nuit à confectionner son roman, en effet pour s'occuper il avait décidé d'écrire un roman. Il avait d'ailleurs réuni ses idées, écrit le contexte, c'était plus un défi qu'un projet. Il s'était dit qu'il ferait ça pour lui, que cela resterai inconnu aux yeux de tous.
    Quand le réveil sonna, Phoen-X était avachi sur son clavier, le réveil fut dur. Il prit son portable appuya sur un bouton et le son s'interrompit. Néanmoins un second son agaçant l'énervait, un bruit incessant, celui de son clavier. Phoen-X était tombé de fatigue et en dormant son front n'avait cessé d'appuyer sur les touche "t" "g" "y" "u" "h" "j", durant la nuit, son front avait écrit cent pages de word. Il finit par comprendre qu'il était temps de se lever, de toute ses forces il s'adossa à sa chaise en remettant de l'ordre à son fichier sous word. Son appartement temporaire était en désordre et pourtant notre chère Enzophoen est plutôt quelqu'un d'ordonnée, je dirais même de maniaque. Il y avait sa valise encore pleine par terre et ses vêtements sales d'il y a trois jours représenté comme un tapis que l'on dispose de façon à ce que les invités s'essuient les pieds. La vaisselles salles était étalées sur la table à manger, le lavabo débordais d'assiettes pleines d'aliments dont la date d'expiration était expirée, le frigo était vide, en bref son appartement était catastrophique, c'était un vrai parcours du combattant. La journée d'Enzophoen commençait de la même manière que les précédentes, en vacance les journées sont très répétitives, c'est d'ailleurs suffisamment agaçant, heureusement ces vacances-ci ne dure que deux semaine sans quoi Phoen-X deviendrait fou. Phoen-X prit appuie sur son bureau et se poussa très violemment afin de projeter sa chaise et de se rendre dans la cuisine. Le grand bazar de son appartement bloqua une roue de sa chaise glissante, Phoen-X se retrouva comme projeter en avant, tel un soleil sur un vélo dont la roue est coincée dans une bouche d'égouts. Il voltigea à travers son appartement, une belle peur du matin. La chute fut fatal, il était foudroyé d'une douleur corporelles insurmontable. Son dos était comme bloqué, rampant au sol pour tout de même parvenir jusqu'au frigo Phoen-X souffrait le martyr. Une situation assez pathétique qui, dès le matin Phoen-X avait le droit à un bonheur majestueux. La douleur s'estompa, Phoen-X se sentait beaucoup mieux près à redémarrer une rude journée. Ce matin, Phoen-X n'avait rien prévu de particulier sans doute sortir à un café prendre le petit déjeuné car son appartement atrocement désordonné n'avait plus rien pour nourrir le ventre affamé de Phoen-X. Après s'être mouillé le visage à l'eau froide histoire de se remettre sur pieds le jeune homme pri sur lui pour sortir. Il se vêtit d'un t-shirt au hasard, au couleur flashs et de son seul jean encore propre, repassé et portable. Munit d'une écharpe, d'un chapeau ainsi qu'une doudoune maintenant la chaleur Phoen-X s'aventura à l'extérieur de son domicile.
    Il n'avait pas mis les pieds dans les rues londoniennes depuis assez longtemps, il se le demanda, impossible de s'en rappelé. Phoen-X a une mémoire courte pour les choses qui n'ont pas beaucoup d'importances. Le vent glacial lui faisait face, ses membres se stagnaient, quasiment inaptes à continuer leurs mouvements. C'était presque un sacrifice de rester dehors. Dès l'occasion Phoen-X pénétra dans un lieux clos afin de se ravitailler. Il commanda un petit déjeuner bien dodu et souffla dans le cocon que formait ses mains dans le but de les réchauffer.
    Il était presque midi lorsque Phoen-X sorti de ce café, à vrai dire il était tellement bien dans ce lieu chauffé... Il décida de rentrer chez lui car il n'avait rien d'autre à faire néanmoins il fit un détour afin de passer voir un ami de longue date bien qu'il ne le qualifie pas particulièrement comme un ami. C'était dans les vieux quartiers de Londres que cette personnes traînaient principalement. Il passait ses journées dehors à l'affut de client. Phoen-X avait son propre business mais lorsque le temps était rude c'est cette personne qu'il allait voir. Il lui acheta un gramme d'héroïne et un quart de grise. Il discuta un peu plus longtemps que prévu avec cette personne dont il ne connaissait pas le vrai nom. Après un petit moment Phoen-X rentra d'un pas rapide chez lui car le froid était meurtri bien qu'il se soit habitué.
    De nouveau chez lui, il passa son temps à faire de l'ordre, des heures et des heures de rangements. Et dire qu'il avait réaliser ce bordel en quatre jour. Dans son internat sa chambre qu'il partage avec une autre personne n'est pas dans un tel désordre. Après s'être tué au rangement Phoen-X éprouvait le besoin de s'ingérer un petit calment. Il se fit un shoot d'un demi gramme d'héroïne qu'il prépara avec précision. Avec sa petite cuillère son citron son briquet et son aiguille. Une foi la dose insérée, Phoen-X partit dans un monde féérique absolument inoubliable. Il en avait besoin autant psychologique que physiologiquement. Ce sentiment semblable à celui de l'extase était l'un de ses préféré, mais tout ça c'est dans la tête. Il se muni à nouveau de ses vêtements d'hiver pour se rendre au coin de la rue dans sa librairie favorite. Phoen-X avait une envie ahurissante de dépenser son argent dans des livres santant le vieux. Il prit la précaution de ranger et laver ses ustensiles de fixers réutilisable, il les mi dans sa poche et pris le restant d'héro qui lui restait, on sait jamais s'il était amené à rester dehors cette fin de journée.
    Encore dehors, le froid frappait à nouveau, et ses jambes engourdit étaient pesantes. Par chance, cette librairie était au coin de rue, on y est vite rendu. Phoen-X pénétra dans la libraire qui était aussi bien pour acheter un livre, pour le lire sur place ou pour l'emprunter.
    « Bonjour, Monsieur Libertins » s'exclama Phoen-X. « Bonjour mon garçon, que te faut-il aujourd'hui? Dis donc j'ai bien cru que tu avais déménagé c'est les vacances et c'est aujourd'hui pour la première foi que tu te rend chez moi? » Le vielle homme adorait Phoen-X, il lui avait même dit un jour que son fils, décédé, lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Phoen-X lui rend assez souvent des services, comme des livraisons de livres, aller chercher sa petite fille à l'école... Il n'accepte pas toujours mais lui répond à chaque foi avec politesse. « Ce temps ne me donne pas vraiment l'envie de sortir, même pour venir te voir au coin de la rue. Mais bon... Je suis venu chercher hum... » Il regarda autour de lui, sélectionna un de ces ancien livre qui n'avaient pas été ouverts depuis plusieurs années. « Tient, celui-ci me paraît bien. Je peux te l'emprunter? » Le vieil homme étonna lui répondit « Tu n'as même pas lu le résumé. » De nouveau Phoen-X s'exclama « A première vu il respecte mes critères, donc ça devrait aller. » Il fit ses au revoir au vieux monsieur et c'est à cet instant que Nate, oui ce fameux Nathanaël des anciens temps entra dans cette boutique. La première pensée de Phoen-X fit "que fit-il là?". Il le regardait à sens unique, Nate était à la ranger bouquins utiles, où l'ont trouve ceux de mécaniques, informatiques, même ceux de cuisines. Il ne l'avait apparemment pas vu. Phoen-X avait dans l'intention d'aller le voir mais après mur réflexion il hésitait, il se rappelait cette soirée qui avait en quelque sort mi fin à leur amitié. Il était fautif et se sentait étrangement mal. Il décida de sortir et de marché à l'opposé de chez lui. D'un pas rapide et déterminé, il fuyait ce chère Nate qu'il appréciait tant autrefois. C'est alors que Phoen-X se sentit coupable, il commençait a le fuir alors que Nate de son coté fait de même, c'est absurde. Il changea d'avis, encore et encore, puis se retrouva face à lui.
    Ils s'observait, son regard était projeté dans le sien. Mais que faisait-il ressentir? Phoen-X n'arrivait pas à percevoir les ressentiments de Nate, du moins l'expression de son regard. De son coté, Phoen-X avait un regard impartial, une tenue naturel, il était vraiment neutre et ne s'en forçait pas. Ce fut Nate qui s'exprima le premier.
    « Ca fait longtemps » Phoen-x s'e manifesta d'une manière impersonnel « Effectivement, ça fait plaisir de te croiser » Bon, c'est sur il était quelque peu gêné par cette rencontre inattendu mais c'est vrai qu'au début lorsque Nathanaël le fuyait, il lui manquait atrocement. Mais ce manque s'est estompé et d'une manière ou d'une autre il n'a plus jamais repensé à ce soir. Aujourd'hui Nate lui tombe dessus, et sa mémoire lui revient. Il ne savait pas trop quoi dire mais enchaîna. « Tu deviens quoi? » De façon à rester poli, il est préférable que Phoen-X lui pose une question, pour faire mine de s'intéresser. En faite, peu à peu, son intérêt qu'il avait avant envers Nathanël ressurgit de son passé. Cette attirance physique redevient tel qu'elle était avant. Sa passion pour lui revit. Phoen-X a désormais une raison pour se sentir gêné. C'est énervant de voir que nous pouvons retrouver tous sentiments tellement vite mais que pour les perdre, on met tellement de temps... Phoen-X se tenait à coté de Nate. Phoen-X n'était pas vraiment redescendu depuis son dernier shoot. Un sourire béa apparut sur ses lèvres, son expression impartial disparut. A le voir ainsi, on l'aurait qualifier comme attaqué mental. Ses yeux dilatés au possible était une marque de son shoot dernier. Il n'était pas trop mal en point, et savait se gérer. Son sourire d'imbécile de dissimula dérrière une expression neutre. Très vite il se reprit et il figurait comme une personne normale. Bien que des gouttes de sueur trainaient sur son front, en hiver c'est très rare d'avoir trop chaud. Il priait pour que Nate de s'aperçoit de rien, ce n'était pas joué d'avance car des petits symptômes peuvent être révélateur de plus, Nate, ce garçon qui lui aussi connait cette réaction... Phoen-X avait chaud, très chaud, cela devenait insupportable. Il détacha son écharpe de son coup et sa température retomba aussitôt. C'est alors que Nate s'exprima...
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