Back to Jack
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Pensez à voter pour le forum : ICI
Passez de bonnes fêtes de fin d'année !
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Rencontre tardive(pv Cordélia)

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Jason Tobias

Jason Tobias


▌Messages : 10
▌Date d'inscription : 29/11/2009
▌Localisation : jamais loin
▌Célébrité : Jackson Rathbone

Carte d'identité
▌ Jack a dit:

Rencontre tardive(pv Cordélia) Empty
MessageSujet: Rencontre tardive(pv Cordélia)   Rencontre tardive(pv Cordélia) EmptyMar 1 Déc - 0:45

Rencontre Tardive.


Rencontre tardive(pv Cordélia) 013-15abfbfRencontre tardive(pv Cordélia) 2r7v9k1-15f0017


Cette nuit,encore un cauchemar,pensais-je en me réveillant,ils étaient présent depuis un bout de temps,à chaque fois je revoyais ces même images qui défilaient dans ma tête et qui me réveillait en sursaut.Depuis l'incident je refaisais presque toutes les nuits le même cauchemar même si avec le temps ils s'espassait et je recommençais à faire des nuits sans rêve,je les qualifiaient de "sans rêve"car je ne me rappellait jamais de ce qui s'était passé dedans et donc je restais bercé dans l'ignorance,que j'avais fait un beau rêve ou un abominable cauchemar.En me réveillant je regardais mon réveille et vit qu'il n'était que 8 heures de matin,je me décidais de me lever 10 bonnes minutes après.Je m'étira en ouvrant le vieux volets grinçants qui donnait sur notre rue habituelle.En sortant de la chambre je vis que William n'étais pas là,il avait sans doute été de garde cette nuit.À travers les fenêtres du salon on pouvait apercevoir le temps radieux de Londres,c'est-à-dire,gris pluvieux et orageux,cela ne m'avais jamais gêné était donné que je ne peux pas ressentir la pluie et toutes autre intempéries quelles qu'elles soient.

Aujourd'hui par bonheur c'était mon jour de congé,j'allais faire ce que je faisait habituellement pendant ma période de temps libre,j'allais trainer du côté des docks,j'allais discuter avec les prostitués sur les évènements récents leurs propos des couvertures et autres matos dont elle ne disposait pas histoire de gagner leurs confiances.C'était un travail fastidieux et longs pour obtenir leurs confiances.Je pris toast que je mangea rapidement et mis un paquet de pain de mie,quelques couvertures et d'autres choses du même genres dans un grand sac de sport et sortis dans la rue,l'air détendu,j'avais été à plusieurs reprises arrêté par les agents de la sécurité pour qu'il fouille mon sac,et à chaque fois ils étaient très déçus du résultat de leurs arrestation quand il voyait quelques malheureuses couvertures et autres aliments en tout genre.Ce matin je portais un gilet gris,un t-shirt noir où il n'y avait aucune inscription un jean tout ce qu'il y a de plus banal et un chapeau noir.Quand on allait dans ce genre de quartiers il fallait éviter de mettre des trucs trop voyant,attirer l'attention était très mal vue là-bas.

Je finis par arriver à midi à Narrow Streets,d'habitudes les catins n'étaient regroupés par autan,je trouvais cela étrange,très étrange,elle semblait être entrain de se concertée sur un sujet qui ne semblait pas leurs plaire.Je m'approchais de la masse et alla voir celle qui me faisait le plus confiance,c'était une prostituée qui devait avoir la quarantaine,elle se nommait Murielle,elle venait du Nord de l'Angleterre.

-Que se passe-t-il?


Murielle se retournât vers moi et me regarda comme si j'étais le messie,elle ne me demanda même pas et pris la pain de mie dans mon sac,j'en avais l'habitude et en plus c'était bien pour elles n'est-ce pas ? Elle commença à mâchonner une de ces tranches de pain.

-Eh bien y a eut une flic à peu près la vingtaine qui est venu se mêler de nos affaires,bien sûres tu nous connais,plutôt aller au commissariat que de parlementer avec un flic.

Ce n'étais pas bon signe,si la police venait mettre le nez dans leurs affaires soit elle quitterais le quartier soit cela finirait bien pire,je n'osais même pas l'imaginer,et pour elle il ne fallait surtout pas qu'elle aie l'idée d'interroger des autres gens que les prostituées.J'entendais les catins rouspéter en disant qu'elle ferait mieux de se mêler de ses affaires aux lieux de poser autant de question.

-Je vais me renseigner sur elle,vous n'avez rien à craindre,tiens distribue ça aux autres filles,tu me donnera le sac quand je repasserais te voir.
intimais-je à Murielle avant de m'en aller.

-Merci chéri,et encore merci pour les provisions.


Je marchais en silence dans les ruelles entourant Narrows Streets,il n'y avait rien d'inhabituelle,toujours ces petites bandes de pickpockets qui discutaient dans l'ombre et qui te dévisageaient quand tu t'approchais trop d'eux,et certains dealers vendaient leurs cokes à plusieurs clients en manquent.Je finis par arriver à une petite place très silencieuse où une jeune femme de mon âge à peu près parlait avec des personnes vraiment très peu recommandable,je la savais car j'avais sympathiser avec celui qui se tenait derrière le meneur,il se prénommait Charly,il était vraiment un fou dangereux et c'était de loin celui qui aspirait le moins à l'arrivé de la police par ici.Le jeune femme partit laissant la bande discuter entre eux,ils n'avaient sans doute rien dire vu l'expression de défaite qu'elle affichais en les quittant,iest clair qu'elle n'avait pas choisi le bon quartier si elle espérait que les gens d'ici coopérerait.Je me dirigea vers leurs directions et salua Charly d'une tape *amicale*(on ne pouvait décemment pas être ami avec ce genre de personne)

-Salut les gars,qu'est-ce qu'elle vous voulait l'autre?

-Elle voulait savoir si il n'y avait rien d'anormale où de suspect qu'il s'était passé ici...franchement si elle remet les pieds ici je m'occuperais personnellement de lui refaire son jolie minois.

-Mmmouais faudrait déjà qu'elle revienne.
soufflais-je.

On discuta encore un peu et je finis par les quitter en fin d'après-midi,je traîna dans les rues la suivants de loin de manière à ce qu'elle ne puisse me remarquer et je l'observais interroger tour à tour tous les loubards les plus innommables et les moins fréquentables que la terre aie porté,je me demandais si à la fin je n'allais pas appelé les ambulances,car là elle était sur le point de finir se soir avec un coup de serin dans le ventre.Après un long moment j'eus pitié d'elle,à chaque fois qu'elle posait une question elle manquait de se faire sauter à la gorge,si elle pouvait s'éloigner du quartier je pourrais peut-être lui faire part de quelques informations mais pas part ici,il y a des yeux et des oreilles partout,ce serait vraiment suicidaire de vouloir lui livrer des informations ici.Elle finit par partir apparemment bredouille à 1 h du matin environ,elle commença à s'éloigner du quartier et moi je soupirais de soulagement,je ne voulais aucunement être le temoin du meurtre d'une autre femme.J'emprunta un raccourci qui me menât plus rapidement dans une ruelle qu'elle serait forcé d'emprunter.Je m'appuya contre le mur mon chapeau cachant mon visage et j'attendis qu'elle arrive,j'avais les bras croisés sur le torse et ma respiration était lente et détendu.Je finis par entendre des pas résonner et je le vis apparaitre à la lueur du réverbère.

-Il serait dangereux de se promener seule la nuit,surtout lorsque l'ont sort d'un quartier aussi malfamés...
Revenir en haut Aller en bas
Cordélia I. Saomélia
    Policière

Cordélia I. Saomélia


▌Messages : 58
▌Date d'inscription : 01/11/2009
▌Localisation : Quelque part où tu n'y es pas
▌Célébrité : Ashley Greene

Carte d'identité
▌ Jack a dit:

Rencontre tardive(pv Cordélia) Empty
MessageSujet: Re: Rencontre tardive(pv Cordélia)   Rencontre tardive(pv Cordélia) EmptyMar 1 Déc - 22:05

    Je me baissais, m’accroupissant sur le sol de ma petite cuisine pour regarder ce petit chaton qui était le seul rayon de soleil de mon existence. Sa langue toute rose bonbon lapait le lait avec un tel entrain que je ne pouvais m’empêcher de sourire tendrement, sachant qu’il serait le seul à me voir comme ça. En dehors de ces quelques murs peint aux couleurs vives dans une ambiance chaleureuse, ce qui me faisait oublier les horreurs passées, j’étais une femme froide et pas réellement du genre aimable. Du moins, quand je ne faisais vraiment aucun effort. Me relevant pour fuir la contemplation de l’innocence et du bonheur simple, je pris ma veste, enroulant mon cou dans un écharpe sombre tout en faisant basculer ma capuche sur mes cheveux sombre, ne prenant pas la peine de prendre mon sac sous risque de subir une tentative vaine de racket. Vaine car il est bien évident que je ne me laisserais pas faire d’autant plus que j’utilisais mes poings à merveille. Et puis…quand on a peur de rien, c’est très simple de se sortir de situations fâcheuse bien que l’on ne pourrait jamais échapper à tous les ennuis. Même si mon tempérament me poussait à aller au devant du pire, comme ce que je m’apprêtais à faire dès maintenant.

    Fermant la porte derrière moi en douceur, je pris les escaliers avant de descendre agilement, tout en souplesse. Je ne pris pas la peine de prendre ma voiture, qu’elle ne soit pas défoncé à coup de marteau ou tout simplement taguée. Marchant à pas rapides mais habituels pour moi, j’enfonçais les mains dans les poches tout en me dirigeant vers les bas quartiers de la ville autrement dit, ce qui craignais. Toute personne de bon sens se serait dit, surtout une femme, qu’aller traîner là bas était du suicide. Mais je n’étais pas n’importe quel citoyenne, j’étais un flic et je sentais sur ma hanche peser mon arme de service. Et puis, je n’avais peur de rien… Je levais la tête vers le ciel, ouvrant la bouche pour recueillir sur mes lèvres les quelques gouttes de pluie qui tombaient de nuages grisâtres, symboles de la petite ville de Londres. Ou presque rien.

    Je bifurquais dans une rue, me rendant vers le port quand j’aperçus l’objet de ma visite matinale, à savoir les femmes assez folles pour se mettre à demi nue par un temps pareil afin d’appâter de vieux pervers en mal de sexe. Enfin, ce n’était que mon opinion, loin du domaine professionnel donc que je ne garderais que pour moi. Ma fierté m’empêcherait de tomber aussi bas et je plaignais ses filles obligées de faire don d’elles même pour quelques livres. Je m’approchais d’elle, sans sourire aux lèvres, le visage impénétrable, pas vraiment aimable, ni le contraire. Simplement sans expressions. Je savais que de l’extérieur, je paressais froide, mystérieuse et pourtant. Je gardais enfermée sous clef la jeune exubérante, souriante et clairement gamine, refusant de laisser sortir cette part de moi-même dans l’ombre depuis si longtemps.

    -Mesdemoiselles, je cherche à me renseigner sur le meurtre d’une de vos … collègues et j’aimerais savoir si vous auriez vu quelque chose d’étrange.

    Je savais à l’avance que je n’obtiendrais rien. On obtenait jamais rien de ces femmes, pourquoi, je ne le saurais jamais. Du moins, pas pour le moment. J’eus l’intelligence de ne pas insister, tâtant le terrain, décidant de revenir à la charge plus tard. Je les laissais, me dirigeant vers chaque personnes présentes dans les rues pour les interroger, qu’ils soient bizarres ou non. Je restais professionnelle, bien que ma capuche cachait mon visage, mais ma voix me trahissait et ma plaque était parlante. J’étais folle, aucun de mes collègues ne seraient venu sans être accompagnés, mais j’étais la plus folle de tous et je m’en moquais. Pourtant, certain regard me firent légèrement frémir sans que je ne réagisse d’apparence, bien que j’étais prête à bondir de coté et à me défendre. Mais je n’eus pas à le faire mais revenir le lendemain seule ne serait pas intelligent.

    Je venais de faire choux blanc. Personne n’avait parlé et pourtant la journée venait de s’écouler. Toutes mes questions étaient demeurées sans réponses, et je m’assombris légèrement. Je détestais perdre, et encore plus échouer dans quelque chose dans laquelle je m’étais lancée. En même temps, je n’étais pas en mission officielle mais cette histoire sur le pseudo jack avait assez durée. Cependant les autorités n’étaient pas à fond, et nous étions tous mandatés pour le moment à nous tenir tranquille en attendant les ordres du haut. Bien que notre chef nous ait demandé d’opérer discrètement mais aucun de nous n’y arrivait.

    Je m’adossais à un mur,collant ma tête au mur de brique rouge, dépitée d’avoir perdue ma journée, n’ayant pas même réussie à avoir le moindre petit indices, pas même un tout petit. Et flûte………….J’étais dégoûtée.

    Je me décollais de mon support avant de reprendre ma marche dans la rue qui commençait à devenir sombre et donc dangereuse. Le jour était plus sûr surtout dans un quartier pareil mais j’y étais et je savais courir. Oh et puis, je n’avais pas envie de penser aux circonstances fâcheuses, mais plutôt au comment réussir à obtenir ces informations. Je pouvais très bien prendre le partit de me faire passer pour une prostituée mais elles avaient vu mon visage et c’était mort, et puis quelque part, ce n’était pas plus mal, je n’avais pas spécialement envie de me retrouver à demi nue devant des hommes en train de baver à moitié. Je grimaçais à cette pensée, secouant ma tête pour la chasser avant de la relever. Ma chance sourit quand je vis un groupe d’hommes, et folle comme j’étais, j’y courut, discutant quelque peu avec ces personnes pas vraiment aimables et me menaçant à moitié. Je ne me démontais pas, les regardant dans les yeux en me retenant de les traiter de con, avant de les laisser ricaner seuls à leurs blagues stupides. Les hommes étaient tous des abrutis.

    -Quel bande de crétin…………..

    Il fallait que ça sorte et je fus soulagée de le dire bien que ce n’était qu’à moi. Il faisait désormais nuit noir et je regardais mon portable pour me rendre compte qu’il était une heure du matin. Voilà pourquoi je me sentais lasse et surtout à l’idée du chemin que je devais parcourir avant de pouvoir rentrer chez moi. Je m’éloignais du quartier, légèrement démoralisée, ayant hâte de rentrer et de manigancer quelque chose pour y arriver. C’est alors, qu’empruntant une ruelle pour rejoindre le centre ville, j’entendis une voix et levait les yeux vers un personnage adossé au mur. Pour qui il se prenait celui là pour me mettre en garde moi?

    -Je peux te retourner le conseil.

    Après tout, il semblait être seul lui aussi et je ne comprenais pas ce qu’il me voulait. Surtout que nous n’étions plus dans le quartier en question. Je m’approchais silencieusement, restant à quelques mètres de distance, plantant mes yeux sombres dans les siens plus clairs.

    -Comment sais tu que j’étais dans ce genre de quartier? Tu me suis ?????

    J’étais une personne franche, et surtout je voulais savoir. Je ne le quittais pas du regard, mes sens à l’affût de la moindre chose suspecte de sa part ou des alentours.
Revenir en haut Aller en bas
Jason Tobias

Jason Tobias


▌Messages : 10
▌Date d'inscription : 29/11/2009
▌Localisation : jamais loin
▌Célébrité : Jackson Rathbone

Carte d'identité
▌ Jack a dit:

Rencontre tardive(pv Cordélia) Empty
MessageSujet: Re: Rencontre tardive(pv Cordélia)   Rencontre tardive(pv Cordélia) EmptyMer 2 Déc - 0:48

Un instant après avoir prononcé ces mots,je vis la jeune femme s'immobiliser cherchant d'où venait ma voix elle finit par se tourner vers moi,elle semblait révolté par mes paroles,mais ce n'était pas mon intention de la mettre en colère,ce que je voulais était de la mettre en garde,il était clair qu'elle ne fallait plus du tout qu'elle retourne dans ce quartier,je me fichais bien qu'elle meurt mais pourtant j'étais là,cela m'étonna d'ailleurs,enfin le second but de ma présence était de savoir si tout le monde de le quartier,enfin tout ceux qu'elle avait été interrogés avait maintenu la loi du silence,je connaissais déjà la réponse mais,je me donnais l'espoir de ne pas être le seul traitre du quartier,quoique je n'était pas tel vu que j'étais dans ces ruelles malfamés pour avoir plus d'information,ma seule différence avec la jeune femme c'était que je n'avais aucune insigne et que je n'obéissais à personne,un avantage qui me permettait parfois d'utiliser des techniques peu orthodoxtes pour arracher des informations aux malfrats qui seraient sensible d'avoir une quelconque informations,mais j'avais une devise,jamais je ne frapperais une prostituée,elle avait déjà assez d'ennuis comme cela,d'ailleurs il m'était arriver à plusieurs reprise de devoir me défendre contre les proxénètes qui trouvait que j'étais bien trop proche de leurs filles.

-Je peux te retourner le conseil

Voilà un trait de sa personnalité que j'appréciait particulièrement,elle n'avais pas froid aux yeux,ce qui est plutôt normal quand on a un revolver juste sur la hanche,ce n'était pas bien difficile de voir l'arme,mais il fallait quand même être assez observateur,dont que j'avais eut la chance d'avoir,ce trait de caractère me rappelait beaucoup quelqu'un,jade...elle n'avait peur de rien et avait la langue bien pendu,elle ne pouvait pas s'empêcher de dire ce qu'elle pensait;c'était au dessus de ses forces.À m'être perdu dans mes pensées je ne m'étais même pas rendu compte qu'elle s'était rapprochées de moi,elle avait des yeux plus sombre que les miens et dans son regard brillait un éclat de colère mais de méfiance aussi,elle avait raison,pourquoi faire confiance à un inconnu.Mes yeux verts l'observait avec insistance et je cherchais d'autres informations que son regard pourrait me dévoiler mais je fus rapidement interrompus.

-Comment sais tu que j’étais dans ce genre de quartier? Tu me suis ?????

La curiosité est un vilain défauts pensais-je en l'observant mais il est vrai qu'à sa place j'aurais réagis pareille,ces temps-ci il fallait constamment que je sois sur mes gardes,à forces d'avoir le genre de fréquentations que j'avais,je pouvais à tout moment me faire agresser car j'avais peut-être dit quelques choses qui avait déplus à un tel.Une chose m'arracha un sourire plus qu'ironique,c'était une flic et elle ne savait pas quand quelqu'un la suivait,elle avait de l'avenir dans le métier...à moins que je sois un maître de la discrétion,mais cette idée était trop saugrenue pour être penser avec sérieux,il fallait dire qu'il m'arrivais d'être très maladroit.Une chose me donna l'envie de rebrousser chemin,si je lui disais des informations et que grâce à cela ils trouvaient un piste sérieuse,les policiers reviendraient fouiner ici et alors les gens du quartier seront qu'il y eut une balance et cela retombera sur les plus nouveau,le seul ennuis c'est que je faisait parti du lot....et que cela retomberais aussi sur la flic qu'il y avait en face de moi car aux lieux de fermés les yeux sur ce qui se passaient ici elle irait sans doute voir son supérieur,et cela finirait mal de toute façon.Enfin je m'échafaudait plein de possibilité,tout aussi improbable soit-elle,il fallait que je cesse de trop réfléchir en plus je sentais bien que la jeune femme en face de moi semblait réellement s'impatienter.

-Pour une flic tu n'est pas très perspicace et tu n'as pas un bon sens de l'observation,je te suis depuis la fin de la matinée,et je vois que tu as fait choux blanc dans tes petit interrogatoires ce qui normalement devrait me réjouir mais je ne suis pas sans coeur,les gens du quartier ne veulent pas te revoir,certains même veulent te faire disparaître,ils ne faut pas venir fouiller dans leurs affaires surtout quand on porte l'insigne...

Je m'étais rapprocher d'elle et je la regardais d'un regard franc et sincère,enfin chez moi tout sonnait étrangement faux depuis un bon moment,je m'étonnais de la sincérité de mon geste et ferma les yeux un instant,puis après je me mordis l'intérieur de la lèvre en me rendant compte d'une chose,il y avait longtemps que dans une phrase je n'avais pas mentis,cela faisait une étrange sensation,mais comment une personne qui ne ressentais pas la douleur pouvait-elle l'expliquer?À force d'être perdu dans mes pensées je sentis un liquide chaud et qui avait le goût du fer dans ma bouche,je ne m'étais pas rendu compte à quel point je m'étais mordu fort la lèvre et en touchant avec ma langue je sentis que je m'étais arracher un petit bout de peau interne,du sang commençait à imbiber l'intérieur de mes lèvres,je passa ma langue pour m'effacer le goût du sang mais sans succès,il m'arrivait parfois de détester cette maladie,déjà premièrement dès que je tombais il fallait que j'aille à l'hôpital pour voir si je n'avais rien de casser,il fallait à chaque fois que je fasse très attention à mes gestes et plein d'autre petit désagrément du quotidien qui rendait cette maladie insupportable,vous ne pouvez pas savoir à quelle point j'aimerais être comme tous les gens normaux,qui font "aïe"quand il se pique ou qui hurle de douleur quand il vienne de se faire planter un couteau dans la bras ou quand il se font renverser par une voiture.Mais revenons en au fait,elle restait silencieuse et était sur ces gardes depuis que je m'étais rapprocher,elle aurais la frousse de sa vie si elle me collait un balle dans la ventre et que je continuerais quand même à sourire.

-Je ne suis pas là en ennemi,je suis de ton côté en plus si j'aurais été de leurs côté je n'aurais rien fait et qui sait à cette heure-ci si tu ne serais encore en vie,cependant si tu aurais dans l'idée de te servir de ton arme pour une quelconque raison où si tu tentais de me blesser d'une quelconque manière tu serais fort surprise,j'ai des informations et tu veux des informations,ce n'est pas plus compliqué.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Rencontre tardive(pv Cordélia) Empty
MessageSujet: Re: Rencontre tardive(pv Cordélia)   Rencontre tardive(pv Cordélia) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Rencontre tardive(pv Cordélia)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» "Allons boire un café, tu veux?" [Cordélia & Jazz]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Back to Jack :: LONDON STREET :: EAST END LONDON :: Narrow Streets-
Sauter vers: